Vendredi 27 avril 2007 à 20:12

JE T'AIME



(désolé, j'ai pas de photo plus où il y a moins moi dessus.)


patate.


Qu'est-ce que l'on ferait sans moi? oh pas grand chose de moins, il y a toujours un con pour en remplacer un autre.

Bande d'idéaliste ! ^^

Jeudi 26 avril 2007 à 0:00

    JOYEUX NOEL ! J

    Juste pour le dire, demain j'écrirais un truc plus consistant (ou pas) mais là tout de suite j'ai envie de vous le dire ! JOYEUX NOEL ! A 00h00, car c'est l'heure où le papa noël il passe avec sa hotte et ses boules ! Et puis non je vous déteste pas, enfin si de temps en temps mais c'est normal, sinon on se ferait chier. Le dernier article, enfin l'avant dernier quoi, moi je le kiff à mort! Il déchire sa race.

    Je viens de me souvenir du premier titre de ce blog : "Le chavenaysien libéré". A votre avis, pourquoi ? C'est une question à la con, j'attends une réponse à la con. Tiens en arrière plan on voit un boufon qui a dix ans de moins. Allez si vous trouvez la bonne réponse, je vous la montre cette photo, inutile certes mais utile quand même !

Je voulais dire un truc mais je sais plus trop... [Ptete que c'était : la nostalgie c'est MAAAAL]

  Edit : J'avais dit que je reviendrais, la maintenant tout de suite, j'ai envie d'écrire, et je me dis que ça ne sert à rien de prendre un nouvel article, celui-là est fun. Ce que je voulais vous dire c'est qu'en ce moment, présidentiel oblige, je me suis plongé dans un forum (OUIFM.fr), où le débat est certes houleux mais ma foi fort lucratif et instructif (pléonasme?) C'est assez amusant de voir à quel point les différentes personnes qui s'y réunissent sont convaincues d'un modèle social ou économique opposé. Cela va du Lepeniste convaincu qui n'a comme seul argument que les chiffres du chômage et des citations d'homme célèbres, qui à mon avis ne cautionneraient pas un tel usage. Au Sarkozyste érudit et ultra-libéral qui dédramatise la situation économico social des états unis et y oublis les 40 millions de pauvre. En passant par le gauchise modéré que je suis (bouhhhhh un bolchevik) qui voudrait que le social ne soit pas négligé pendant 10ans aux profits des goldens parachutes que reçoivent certains patrons de multinationales pour les avoir fait couler, obligeant ainsi dix milles salariés à aller toucher les assedics.

    C'est amusant, chacun étant profondément campé sur ces positions, on assiste donc à un débat stérile (un autre pléonasme?) mais qui aura au moins le mérite de nous apprendre certaines choses et surtout de nous faire rire, n'est-ce pas le plus important. Au fait, je ne dis pas que j'ai raison sur un nombre incommensurable de points, non, je suis relativement ignorant en matière économique. Et puis certain des interlocuteurs, ont un assez gros bagages derrière eux, mais j'estime qu'on ne peut pas laisser dire que : " c'est malheureux mais dans notre société actuelle l'économie passe avant le social" Dans ce cas là, moi je dis faisons comme aux états unis permettons nous d'avoir 20 millions de pauvre en plus de ce que nous avons déjà, mais ne vous inquiétez pas, les entreprises tournerons, embaucherons (à des salaires extrêmement faibles, mais ça faut pas le dire). Bref, je pense juste que l'on peut associer les deux, il est clair que ce n'est pas à l'état de tout donner, mais ce n'est pas non plus aux entreprises de tout prendre.

ps : trop de photo tue la photo ! Et fais ultra narcissique, tu as raison !

Dimanche 22 avril 2007 à 2:45

    Je vous insulte ? Et alors ai-je une énième fois envie de dire. Est-ce pour autant que vous devez vous aussi m'insulter? Me maudire? M'étriper? Non, tout simplement parce que, parce que j'ai des choses à dires et que, contrairement à certains bonapartistes, je ne me muselle pas pour paraître plus rassembleur ou plus droit. Demain est un jour dont beaucoup de monde vont se foutre, je n'en ferais pas partie pour mon plus grand malheur. Je pense que si Le pen et Sarkozy passent, je me ramènerai au bahut avec un t-shirt : Hitler ou Pinochet il faut choisir ! Mais là n'est pas le sujet de l'article, ce sujet n'est nulle part et partout à la fois, il est moi, vous, lui, elle, mon amour et mon pire ennemi. Il est sans être. Il existe, mais ne parait pas. Vous voulez que je fasse encore plus abstrait? Vraiment, vous ne voulez vraiment pas? C'est bien dommage, sachez que vous le regretterez un jour, tout comme de voter Sarkozy. Quoi des menaces, des mises en gardes? Moi? Kent? Blog politiquement athée? (la bonne blague, moi politiquement athée? mais loool comme disent les tchateurs msniens dont je fais partis en ce moment même.)

   
    Msn plais ou chance de l'univers? Mais qu'est-ce qu'on en a à foutre de cette question rhétorique de mes deux, qui ne fait en rien avancer le schmilblick de papi mougeot. Cet article ne ressemble à rien, il part dans tous les sens? C'est voulu, j'ai envie de vous dire merde et je vous aime dans la même phrase. Pourquoi? Peut être parce qu'il y a avait un poil trop de vodka dans mon jus d'orange, et encore c'était par défaut. Je suis un djeunze, un rebelle, pitoyable qui plus est. Tant pis, ça ne m'empêche pas de vivre, et de me dire que bien qu'étant un jeune effroyablement ordinaire, je n'en reste pas moi Quentin, et que je peux m'amuser, de temps en temps. Et encore, le mot est fort. Il m'apparaît des fois que la vie est d'un ennui, les gens ne valent pas la peine d'être rencontrer. J'effectue donc sans le dire et sans m'en rendre compte, une sorte de hiérarchisation, je ne donne ma chance à personne, reste bloqué sur mes convictions. Je n'arrive pas à passer au stade de la spontanéité. Pour faire plus simple, je n'arrive pas à être foutrement spontané. Il me faut un cercle de confiance, des amis très proches, ou un peu d'alcool, pour être vraiment déconneur, ouvert et tout le tralala. Sinon je reste calculateur, distant, à la limite de l'asociabilité, du rejet de l'autre. Non pas peur de lui, mais par peur de l'image que je renvoie. Image bien plus négative par ailleurs, si je me replis dans mon coin avec mes écouteurs, alors que je pourrais discuter gaiement avec il, elle ou il et elle.

Je pense à elle, mais pas seulement, je pense aussi à elle et à lui. A tous au final. Et le psg a gagner, vous avez les boules, ou les trompes cela dépends ! Bref, mauvaise nuit et demain ou aujourd'hui, tout dépend de votre humeur : Aux urnes!




Tout ça me donne envie de reprendre le journal. Juste pour un numéro, on verra...


Mercredi 18 avril 2007 à 1:11

   
    À tout ce qui ont cliqué ici en espérant voir des photos de bill et autre tom, je dirais dommage et arrêté vos cris de groupies hystériques (pléonasme) car ça fait vraiment peur. Passons donc, essayons même de partir en « freestaïle » pour reprendre l'expression de jul. Je vais aussi commencer par m'excuser, pour la simple et bonne raison que je n'ai aucune envie d'être drôle, je n'ai pas une miette de situation cocasse à vous raconter, aucune anecdote savoureuse à me rappeler, ni la volonté de le faire. Non je veux du sérieux, là maintenant tout de suite, je veux me faire plaisir, pour votre plus grand malheur, je m'en excuse. J'aime me croire important. Estimer que j'ai un peu d'influence, que je suis éclairé comme certaines personnes m'éclairent. Prêchez dans le vide, ou enfoncer des portes ouvertes est devenu ma spécialité, qu'importe, au moins l'on connaîtra ma façon de penser.

    Cet article est nul, à chier, à jeter. Tout à l'heure j'avais une multitude d'idées dans la tête, pas forcément extraordinaires, pas forcément passionnantes, pas forcément innovantes mais bordel c'était des idées. Maintenant je suis là comme une loque à écrire, effacer, écrire, effacer, s'insurger contre mon manque cruel d'idée pendant que mes parents s'esclaffent devant un Charly Chaplin ma foi très drôle. Et pour cause en descendant je tombe nez à nez avec un Charlot entrain de nous livrer le combat de boxe le plus drôle que j'ai jamais vu, des Ko en pagaille, accompagné de coup pieds de vicieux aux fesses, d'enroulage autour de la corde du gong, je vous laisse imaginer le mic mac. Sachez tout de même qu'à la fin notre pauvre clochard perd, il est même assommé par son propre gant. Du grand Chaplin. Je suis distrait, par ce bruit de fond qui à la longue devient agaçant, les entendre rire c'est chiant, par msn, par mon énervement aussi à ne pas finir, à ne pas trouver le bon sujet. Peut-être que ce soir n'est pas le bon soir pour le bon article. Peut-être que celui-là ne sera pas intéressant, ce n'est même pas une supposition, c'est un fait abruti ! Oui j'aime m'insulter à la troisième personne, c'est plus classe mais aussi très con, pourquoi pas?

    Reprenons le cours de nos idées alors; je cherche, je cherche au plus profond de ma petite tête et diantre que c'est dur de trouver quelque chose dans un tel vide ! Puis à force de divaguer je le trouve enfin ce putain de fil conducteur, je m'y accroche et j'y crois dur comme fer (attention c'est réfléchis), je le peaufine, je continu à effacer, censurer. Pour ne pas choquer mais aussi être le plus convaincant possible, le plus attrayant, évitant ainsi les longueurs, les "trop". J'apporte un soin particulier à ce que mon style soit le moins navrant possible. Au passage si je m'en sors pas trop mal en cours c'est en grande partie grâce à cela. En effet, je brode autour d'une même idée, mais puisque cela est bien dit le prof apprécie, du moins dans certains cas, ça ne marche pas avec tout le monde et c'est bien dommage. Je crois même que c'est avec ce « style » que j'ai eu 15 à mon bac de français, car sincèrement je ne vois pas d'autre explication. Mais revenons à cet article. Je structure le tout en paragraphe, relis, essaie d'éviter les répétitions, me demande s'il va avoir du succès, s'il sera polémique ou non? Si oui, quelles en seront les réactions, aurai-je assez de répartie ? Puis je sélectionne le tout, le fait passer sous Word, corrige ce que je peux corriger. Justifie. Sélectionne une catégorie, poste et vous souhaite un joyeux noël. On est comme ça chez moi, c'est la chaleur humaine qui prime !

C'était donc Kent, envoyé spécial(ement con) de son esprit qui tentait tant bien que mal de vous retranscrire l'élaboration et la réalisation d'un article (duré environ 1heure), qui peut être considéré comme pitoyable.


Edit : J'ai mis un compteur à droite, le truc avec le chiffre, je trouve ça marrant de savoir combien il y a de personne de connecté en même temps sur le blog, uniquement pour mon ego.

Samedi 14 avril 2007 à 1:24

Nondine si on l'aime c'est aussi pour ça :




    On ne parle pas que blog avec nondine, ne vous inquiétez pas... Simplement et je pense que ce n'est pas la seule, elle n'apprécie que peu la tournure que prend ce blog. Il est différent, j'ai même la prétention de dire qu'il est plus réfléchi qu'avant. Au détriment de la déconne, et ce n'est pas un mal pour un bien. Ce blog était avant tout divertissant, provocant et ironique. On ne retrouve que peu de ces éléments désormais. Je le regrette, mais je n'ai pas l'inspiration pour depuis un certain temps. Cela reviendra, j'ai évolué tout en essayant de ne pas perdre ce qui a fait un début de succès à ce blog. Du moins un début d'attention.

    De ce fait je m'excuse, auprès des plus fidèles lecteurs et il en reste peu, comme Ondine, Laura et j'ai beau chercher mais de mon entourage cowbloguesque je n'en trouve pas qui ai autant d'assiduité  depuis plus d'un  an pour laura et un peu moins pour ondine. Il est clair que si l'on passe des vieux articles à cela, outre le fait de retrouver ma love story (vaseuse tu en conviendras) à maintes reprises, on passe d'un blog plutôt ouvert, j'ai la prétention de dire amusant et inutile, à quelque chose de bien plus sérieux et ce, je m'en rends compte, au détriment de cette page web. Non pas que je ne dois pas mélanger les styles, j'ai su les marier un temps, mais c'est à moi de me retrouver un peu plus par écrit. Il faut juste du temps, une fin d'année, du rire, des jeux de mots pourris à trouver, des situations cocasses à décrire et j'arriverais bien à vous arracher un sourire.

Et pour tout vous dire, j'ai mal aux dents !

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