Mercredi 26 décembre 2007 à 2:40

Guillaume dit :
Bon il va le torcher son coMte ! (hihi)

Blablabla dit :
Pas que ça à faire que de laver le cul d'un noble


    En ces temps reculés de décembre où chaque article a pour titre joyeux noël, je m'en vais de mon côté vous raconter un petit conte qui j'en suis sur, plaira aux grands comme aux petits (surtout aux petits). Laissez vous donc entraîner...

    Il était une fois un ridicule village, dans un grand pays, en perte de notoriété régional et encore plus national. De multiples problèmes y existaient. Le chômage, l'immigration inter bourgade, les délocalisations vers les rizières, la retraite des employés municipaux, gangrenaient littéralement la vie des habitants et leurs pouvoirs de récoltes. Furent donc organisés au printemps, lorsque les bourgeons commencèrent à éclore et que les premières graines purent enfin pousser, des élections. Ce fut un nain qui l'emporta. Celui-ci promit notamment de restaurer le prestige de sa bourgade, de multiplier les pains en allant chercher le travail partout où notre petit ami pourrait le trouver. Son message eut un écho, très grand même, auprès de ses villageois. Il entreprit nombre de réformes, utilisant notamment l'actualité pour la convertir en multiples propositions de lois. L'opinion le suivait, donnant ainsi encore plus de courage à notre petit homme.

    Dans sa tentative de restauration du prestige champêtre, celui ci s'aventura entre autre dans une ville côtière pour y délivrer quelque personnes détenu par un méchant maire qui avait acquis son mandat en envoyant des roses à ses adversaires. Dikhafa de son prénom, ne pouvait donc pas être foncièrement mauvais. C'est ainsi que notre bon nain l'invita à venir quelques mois plus tard dans son domaine afin de sceller une bonne fois pour toute une amitié qui ne devait souffrir d'aucune contestation. En effet, la révolution florale n'avait fait aucun mort, de même que tous les opposants de ce charmant personnage avaient disparu, sans doute grâce au bien fondé de ses idées ; Pourquoi alors refuser l'hospitalité à quelqu'un qui, malgré ses manières cavalières, avait bien voulu libérer de méchants vétérinaires.

    Cet adorable guide fut donc accueillit en grande pompe par notre petit personnage. Il y avait certes quelques minuscules contestations mais elles étaient bien vite masquées par l'intérêt céréaliers que les habitants pouvaient tirer de la vente de leurs tracteurs et autre technologies agricoles. N'appréciant vivre qu'au contact de la nature, le gentil dictateur planta sa tente dans un des jardins les plus réputés du comté. Avec raison et légitimité, Dikhafa critiqua les institutions de son partenaire économique qui lui avait déroulé le tapis rouge, tout en niant certaines allusions de leurs causeries. À savoir la liberté des hommes de son port et autres inutilités. Le maire, qui avait promis de ne pas se compromettre dans la "céréale politique" s'il était élu, ne semblait malheureusement pas se souvenir de ses engagements et se livrait non sans une certaine joie aux multiples courbettes, croyant celles-ci à même de lui rapporter des engagements à lui et tous ces petits amis.

    Quel ne fut donc pas sa surprise et celle de ses villageois, quand il appris que les commandes ne s'élevaient qu'à 3 milliards de mollars, lorsque d'autre village hispanophones avaient pu, eux, en décrocher 17 en évitant de se faire moudre. Fallait-il crier au scandale? Oser reconnaître que la politique céréalière était un échec? Et qu'au final, le grand petit homme avait été roulé dans la farine? Bien au contraire, une parade fut trouvée pour étouffer les grains de blés qui passaient mal : Sortir avec Blanche Neige. Cela permit d'éteindre le feu qui couvait dans la grange et ainsi de berner, pour les préserver sans doute, toutes ses petites troupes qui croyaient et espéraient que se compromettre à un tel point avec des dirigeants pareils aurait un gros prix. Et en effet il y eut un, celui du ridicule.


    Moralité? Ne jamais croire les promesses d'un candidat. Surtout s'il s'agit d'un nain hyperactif ayant pour seul but de se taper la belle blanche neige !


Vendredi 21 décembre 2007 à 8:46


Je ne kOnpren pa se ki pOst D artikl kOm sa, D le mat1 kwa ! XPTDR




D'où ce sourire !

(Dernier jour de cours de l'année (ratée) 2006/2007)


Ps: Les émoticones de cow, sont ultra skybloguest ! Et tout ceci sera modififé (parce qu'il faut un article intelligent par page, sinon tout le monde décroche et c'est bien normal), une fois que j'aurai le temps de me poser réellement. C'est à dire : Pas depuis le début de la semaine et pas aujourd'hui !

Joyeuse Pâques mes amis
Samedi 19h17 :
   
    Et voilà l'article intelligent tentant, malicieux qu'il est, de ce glisser parmi cet amas de bêtises qui jonchent le sol toujours plus impropre d'un projet qui n'est plus que l'ombre de lui même. Il essaie encore et toujours de jaillir de la tête de son auteur, telle Athéna de Zeus, mais le tout est solide, trop rodé pour qu'enfin l'intérêt du lecteur apparaisse. La lutte est acharnée, chacun tentant de prendre le pas sur l'autre. La bêtise d'un côté et la facilité poussant toujours plus loin l'auteur dans un excès de fainéantise. La réflexion de l'autre, pour qui la quiétude et le temps est indispensable, la mélancolie parfois. Écrire lorsque l'on n'en ressent pas le besoin est pour nombre de personne écrire lorsque l'on est heureux. Du moins paisible. L'équilibre est plus que difficile à atteindre, puisqu'il est par nature hors de portée de la seule capacité humaine. Ne pas allez non plus jusqu'à dire qu'il faille profiter de la bêtise, en aucun cas. La facilité n'est point une bonne méthode, seulement plus attractive que la tristesse. Il semblerait que la réflexion ai vaincu cette fois ci, du moins sa tentative. Nombrilisme extrême, les bons mots que voilà !

Dimanche 16 décembre 2007 à 16:24



A) 4 emplois que j'ai fait dans ma vie :


- Heu...
-  J'ai fais du jardinage payé une misère...
- Et je crois bien que c'est tout. (Pourtant je suis persuadé d'avoir fait au moins un autre truc, mais je ne m'en souviens pas!)
- Branleur

B) 4 villes où j'ai vécu :

- Rueil Malmaison
- Criquevilles en Auge (LOOOOOL), c'était notre maison de vacance.
- Chavenay
- Et pis c'est tout, j'y habite depuis l'âge de 3ans donc...

C) 4 émissions de télé que je regarde :

- Certaines conneries Mtvienne (genre : Next, Pimp My ride, Exposed ^^)
- Cold case
- Des trucs à la con, genre "À vous de juger"
- Et puis des documentaires, quand le sujet m'intéresse du Style : Envoyé Spécial, ou encore "Le système Poutine" récemment.

Mais je dois l'avouer, c'est vraiment quand le sujet me botte.

D) 4 endroits où je suis déjà allée en vacances :

- Sicile (Moult fois, racine et famille oblige), Venise et Naples
- Londres
- St Maxime/ Les Issambres.
- Bah la France quoi !

E) 4 sites visités chaque fois (ou presque) que je navigue sur Internet :

- Hotmail
- Cowblog
- Kamazutra.be (Même si c'est de plus en plus nul)
- Dattebayo-fr

F) 4 mets que je ne mangerais pour rien au monde :
- Des pistaches, cacahouète, Fruits de mer, pomme cru etc
- Cervelle
/Langue de boeuf
- Je ne suis pas particulièrement difficile, il y a juste des plats que j'aime moins que d'autre.
- [Cherche]


G) ... pas envie. (Je sais je copie Loomp qui a elle même copié Charlie là...)

H) Mes 4 plats favoris

- Les Pâtes à la sauce tomate de ma grand mère Maternelle.
- Les Pâtes à la sauce tomate que fais ma mère
- Les Pâtes à la sauce tomate que je fais moi même !
- Les tartes à la Ratatouille/Poireau. Sinon un bon nombre de patisserie.

I) 4 endroits où j'aimerais être en ce moment :

- Devant mon bureau entrain de travailler, mais j'y arrive passssss!
- Dans des bras féminins
- J'aime ma vie et je suis plutôt heureux.
- Je n'ai donc pas de réelle souhait, rien ne me viens.


    Vous connaissez le principe de ces chaînes à la con, qui en dépit du fait d'être totalement dénuées d'imagination, n'en restent pas moins amusante à lire. Je l'envoie donc à la gueule : d'Ondine (à tableeeeee), de Tote, De GxP (XD), de Jul, Torkell (parce que je l'aime bien).

Jeudi 13 décembre 2007 à 0:11

    La fatigue ainsi que la masse de travail s'accumule à une vitesse effrayante. Déjà deux dossiers et trois commentaires ou dissertations à faire pour la seule la rentrée, sans compter, bien entendu ce qu'il me reste déjà à faire pour la fin de cette semaine et la prochaine. À savoir, une traduction d'anglais (pas la vieille traduction de base du lycée, je tiens à le préciser) pour vendredi, deux commentaires à la fois en Théâtre antique et l'autre en Histoire moderne sur un texte de Diderot (qui est né le même jour que moi, ou plutôt l'inverse) ainsi qu'un devoir sur table en TD d'histoire et autre broutille grec.

    Vous me direz, et vous aurez sans doute raison, que tout cela n'est pas très intensif, lorsque l'on compare notre rythme à celui des prépas. Probable, mais je dois faire face en plus de mon contrôle continu à des partiels et autre dossiers dans le mois de Janvier. La fatigue donc découle de ma non-capacité à prévoir le travail à l'avance comme beaucoup savent le faire. Je n'ai aucune motivation pour me mettre devan celui ci, s'il n'est point à rendre le lendemain, m'obligeant de ce fait à me coucher relativement tard. Comme le récent 5h30 pour finir un Dm d'anglais (mais la prof le vaut bien) ou autre 3h30 (pas endormi avant une grosse demi heure) lorsque l'on se lève deux heures et demi plus tard.

    Néanmoins l'ambiance en classe s'est nettement améliorée, sympathisant avec un certain nombre de camarade, au point de faire un foot cette après midi à la fac (oui dans une journée de 8h30/19h30 on peut avoir deux heures et demi de pause le midi) où nous nous sommes fait lamentablement laminé. Nan mais aussi c'était pas un vrai terrain, je ne  pouvais pas tacler, surtout en converse. Ce qui ne m'a pas empêché de me retrouver les 4 fers en l'air après un changement de direction un peu trop brutale. Du moment que la honte ne tue pas...

    Une dernière chose qui pour le coup n'a rien de drôle, il s'agit juste d'une petite pensée pour ma grande mère paternelle qui était opérée aujourd'hui pour un cancer. Son troisième diagnostiqué, disons que dans la famille nous ne sommes point épargnés par la maladie. Mais c'est une autre histoire, que je ne conterai pas ici !

Ps : Pour Loomp, les côtisations sont en gros ce que tu payes sur ton salaire, en prévision de ta retraite. Et pour Maud, je croyais pourtant avoir déjà montré des photos de moi "de face". Vous m'excuserez de ne point en mettre sur celui-ci.

Vendredi 7 décembre 2007 à 2:24



    Le plus dur, ce n'est pas de comprendre l'échec, c'est de le digérer. De s'avouer, qu'une fois celui ci envolé, il se faudra trouver un autre but et de nouveau livrer  bataille en terre inconnu. Renoncer et trouver un espoir vers quoi tendre, voilà bien la pire des épreuves.

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