Lundi 15 janvier 2007 à 23:51

   J'avais envie de le dire, comme ça, une pulsion me prend et mon conscient ne peut repousser l'afflux perpétuel et irrévocable de tout ces désirs refoulés honteusement à la porte de mon esprit. On sent  que le cour sur le conscient et l'inconscient est passé par là et a marqué les esprits, surtout le mien. Non je ne le referais pas pour vous ici, je n'ai pas (encore) la prétention de tout savoir sur le sujet, mais un jour viendra... J'ai lu un article il y a peu sur la guerre que se livraient les psychanalyste et les psychologue quant au bien fondé de la première science.

    Les critiques sont plutôt assassines et ce bon vieux Freud ne semble pas tant que ça avoir conquis l'opinion public. On lui reproche notamment ses fameux exemples et la véracité des faits, certains allant même jusqu'à enquêter sur les divers patients plus d'un siècle après... Certains psychologues ont même écrit le "Livre noir de la psychanalyse", cela démontrant bien toute la hargne et le dégoût que leur inspire cette « science ». Il est vrai que durant mon cours, j'ai été amené à me poser des questions sur la véracité des réponses de ce bon Freud. Sa démarche en elle même ne me dérange pas, mais je ne comprends pas comment il arrive à guérir ses malades (atteint d'hystérie, pour ce qui ne l'ont pas encore étudier) uniquement par la parole, en leur faisant avouer, ou plutôt déterrer ce qu'ils avaient enfouis au plus profond d'eux même?

    L'inconscient est un fait indiscutable certes, mais une fois que l'on connaît une partie de son contenu et des tracas qu'il engendre, en quoi cela aide-t-il le patient? Je sais notamment qu'avec une psychologue, de par mon expérience personnel, le flot de parole, le vidage de sac comme l'appel bon nombre de personnes, aide, soulage, apaise et permet à son être d'avancer. Pourquoi cela ne serait-il pas de même avec la psychanalyse? Je ne sais pas, sans doute une réserve toute naturelle à tout ce qui touche de près ou de loin à la science... Mon côté ES sans doute.

    J'ai dû sûrement me contredire sur le sujet, je m'en excuse mais disons juste que je me pose pas mal de question sur ce sujet ô combien délicat. Pour finir, je dirais que vois la psychanalyse comme un moyen de prendre conscience de ses démons intérieurs et qu'elle doit être complété par la psychologie pour la guérison. Maintenant comme dirait une émission subventionné, enfin je crois, À vous de juger!

ps : Cet article a été écrit d'un trait. Oui je sais, il n'est que peu retravaillé, mais il a tout de même le mérite de me faire apparaître à quel point mes articles partent sur un coup de tête et que l'inspiration peut se trouver dans un titre qui pourtant au début n'a strictement aucun sens. Le génie sans doute... (qu'est-ce que je déteste cette notion élitiste de génie!) Avec le recul je le trouve franchement bof. M'enfin...

Re Post scriptum : Mon prof de philo a été remplacé par un autre jeune, et franchement il se débrouille pas trop mal, cela permet de voir d'autres aspects du cour que notre enseignant titulaire avait choisis d'occulter. Par contre je préviens que ce n'est pas du M. S. c'est un autre style, plus classique... (typiquement le genre d'anecdote que déteste lire Dame Fragments, écrivis-je avec un grand sourire!)

Mercredi 10 janvier 2007 à 16:54



    Il me faut écrire, pour extérioriser ce mal qui me ronge. Ce torrent de passion qui m'entraîne inlassablement alors que je devrais savoir le contrôler. Mais le propre de la passion  n'est-il pas d'échapper à tout contrôle ? J'aurai besoin de me raisonner, je le sais et le veux. Malheureusement chez moi ce foutu conscient n'est pas assez fort pour repousser les assauts toujours plus grands de ce fléau qui hante mon esprit. Je suis soulagé. Du moins tant que l'ennui, encore lui, n'a pas fait surface. Dès lors des envies me prennent, la passion revient à la charge mais elle est contrecarrée par cette plume et son support. Enfin. Toutes ces pensées sont décousues, semblent jetées à l'emporte-pièce. En effet, elle représente le bouillonnement constant de mon esprit. Est-ce pour autant que tout cela n'est pas construit ? Possible, mais j'en doute car quand bien même serait-ce le cas, ne faut-il pas un grain de folie et d'imprévu pour agrémenter le quotidien banal et stérile de la remise en question. De ce « allez vous faire foutre » permanent. Oui j'ai envie d'avancer. Je suis, mais ne le suis plus ! Du moins pas assez. Parce que je ne suis pas tout le temps. Je suis moi sans l'être, je me renie, m'affirme, me remodèle et tout cela pour un bonheur conceptualisé. Mais aussi pour son bien et celui de tous. Un homme agréable bien que plus ennuyant n'embête personne si ce n'est par sa présence. C'est pour cela que je suis reclus dans ma chambre.

Qui a dit que j'étais quelqu'un de bien ? Moi

Vendredi 5 janvier 2007 à 0:35

    Il semblerait que les jeux soient faits pour 2007, que nous ayons déjà notre deuxième tour. Avant même la fin des signatures des communes, avant même les premiers vrais débats, avant même les programmes planifié. Nous sommes déjà dans le passé, il ne reste plus qu'à savoir qui de Ségolène Royal ou de Nicolas Sarkozy sera plébiscité par les Français. Super ai-je envie de dire de se retrouver si tôt face au mur. Je suis vraiment désolé de tomber dans "le tout sauf  Ségo-Sarko",  mais force est de constater que si j'avais ne serait-ce que la chance de voter (alors pour ceux qui l'ont vous avez intérêt à vous précipitez aux urnes sinon c'est moi qui vous y traîne) je ne ferais dans aucun de ces deux camps.  Pourquoi?

     En ce qui concerne Nicolas Sarkozy, je pense que vous savez que je n'ai jamais fait dans l'état néo-policier. (Petite parenthèse, je suis aller dans l'ancienne maison de Nicolas Sarkozy, en Normandie là où il a grandi lors qu'il était encore un réfugié Hongrois) Ma transition est d'ailleurs toute faite, comment un ancien réfugié peut condamner lui-même d'autre réfugiés? Qu'il soit étranger ou pas ne change rien à la question de l'immigration, je ne rappellerai que ceci : C'est la France après la seconde guerre mondiale qui a fait appel à ses empires coloniaux pour reconstruire la patrie, c'est encore et toujours elle qui a permis à ces centaines de milliers de travailleurs de faire venir leur famille pour relancer la consommation. Du moins c'est ce que je crois savoir. Mais là je fais plus un procès d'intention au FN qu'à notre ministre de l'intérieur. Je n'accepte pas la politique de reconduction des immigrés par airbus entier dans leur pays d'origine. Voilà, un homme à le droit de choisir sa destiné, surtout que ce n'est pas ce genre de personne qui pique du travail aux gaulois... Combien parmi vous connaissent des éboueurs qui ne soient pas immigrés? Même dans nos contrés reculés?

    En ce qui concerne Ségolène Royal, je suis littéralement déprimé par son manque total de charisme. Elle ne sait pas parler, elle ne sait pas captiver, elle ne sait pas attaquer. Grand dieu, ce n'est pas parce que c'est une femme, je ne suis pas encore misogyne (un jour peut être) mais je ne supporte pas sa façon de lire tout ce qu'elle dit, de n'y mettre aucune conviction, d'être plate comme une montagne sans relief (paradoxale? c'est fait exprès et c'est vaseux). En gros une plaine quoi (hihihi je lui parle, oula que je suis gaga)... Bref, je n'aime pas non plus son populisme, mais qui n'est pas populiste à notre époque, qui?  Simplement c'est tout ses changements de position, ses revirement de bord, ses chavirage d'idées (je continu dans la métaphore à répétition?). Non vous avez raison, il vaut mieux stopper puisque cela n'apporte rien.

    J'ai bien envie de prôner l'alternative, mais cela fait trop jeune, trop rebelle et signifie en aucun cas Martin voter blanc. J'ai toujours été contre ce système de contestation puisqu'il favorise, comme tu le dis et je l'ai toujours dit l'accession, du FN. Ce que je ne suis pas, même au fond de mon coeur. Je ne plébiscite pas une révolution quelconque, changement de constitution, coup d'état et dictature du prolétariat, non le sang communiste ne coule pas et n'a jamais coulé dans mes veines, loin de là. Simplement je n'aime pas humainement parlant ces deux personnages, ainsi que leur politique. Cet article sera complété par un autre, plus tard car celui-ci est bien trop incomplet veuillez m'en excuser...

Je l'aime bien cet article!


PS: l'article a été quelque peu modifié en ce qui concerne les votes blancs notamment. J'en profite pour ajouter que je ne résume pas l'UMP à nicolas Sarkozy, bien qu'il en soit le président. Il y a des politique que j'apprécie aussi à droite (borlo, bien qu'on se demande ce qu'il y fait ^^) Mais je réitère mes propos, cet article est à compléter encore et encore car il est loin d'être complet. (merci pour vos commentaires constructifs, ça fait super plaisir, pour de vrai)

Mardi 2 janvier 2007 à 3:06

    Marre de ces bonnes années qui fusent à la vitesse de la lumière, de tous ces meilleurs voeux qui ne sont que pures superstitions, comme si des paroles aussi banales pouvaient changer quelque chose à la condition humaine. Bref, j'ai des milliers d'idées d'articles qui fourmillent dans ma tête mais qui malheureusement ne sont pas assez élaborées et le plus souvent trop personnelles si ce n'est encore banale. J'applique donc une sorte d'auto censure, que ce soit pour le bien de mon joli visage mais aussi pour ce blog qui commence à retomber dans ses tristes travers. Article inutile, mal construit, le tout ponctué de répétitions. Tout cela étant  devenu ingérable, j'ai décidé de reprendre en main. Avec des articles un peu plus élaboré et surtout moins facile...

     Oui ça va être dur et long par la même occasion (je sais que je me répète mais ça n'a pas de connotation vicieuse...) mais il faut reprendre tout depuis le début pour arriver à ce nirvana intellectuel et auto satisfaisant. On a beaucoup déclamé sur l'écriture, je n'ai pas échappé à la règle d'ailleurs, mais j'éprouve encore le besoin, la nécessité d'en décrire les causes, les aspects, les conséquences. De faire son éloge mais aussi son blâme. L'écriture libère certes, mais aussi elle expose; elle expose votre vie, vos sentiments à des personnes qui sont connues et qui ne devraient pas, selon moi, savoir certaines choses. D'un autre côté, ce n'est que le revers de la médaille. On est lu et compris par un grand nombre de personne qui ne viennent ici que dans un but purement désintéressé, si ce n'est celui de se divertir etc…

    Mais je ne tolère en aucun cas toutes ces commères qui parcourent ces pages dans un but purement lucratif, à la recherche de la moindre information, du plus petit ragot à propager pour ensuite s'en délecter auprès de personne qui s'y intéressent aussi. Des personnes à qui je n'ai quasiment jamais adressé la parole, mais qui ne peuvent s'empêcher d'en savoir toujours plus. Je n'ai pas mis assez de pudeur dans ce blog, j'ai tenté de réparer cette erreur, mais ce qui est fait est fait. Je ne peux pas retirer tout ce que j'ai mis jusqu'à maintenant. En revanche je peux fustiger et je ne m'en prive pas toutes les personnes venant ici faire leur marché, me connaissant seulement de vue et d'écrits. Donc ne je n'attaque pas les personnes que je fréquente vraiment et qui parcours ces lignes ni même vous lecteurs lambda que je ne connais point et qui habite à 300kilomètres de chez moi, mais ceux et celles venant de mon lycée par exemple...

    Bref, je ne vous ai conté ici qu'un des aspects, négatifs certes, de ce que j'appelle écriture et que d'autres nomment libération, aboutissement, plaisir, nostalgie. Mes mots commencent à venir un peu plus difficilement, c'est pour cette raison que je vais commencer à taire mes propos, risquant dans le cas contraire de retomber dans mes travers stylistiques et rigueurieux (je trouve tout simplement que cela sonne  bien mieux que rigoureux). Oui j'invente des mots! Et alors ai-je envie de dire? N'est-ce point une des seules libertés qu'il me reste ici-bas?

Ah oui une dernière chose, je suis entrain de me poser une question d'une débilité affriolante :

Une bulle n'est-elle pas par définition, spéculative?



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