Exemple de soirée dans un couloir (ici le 2e de mon building) Kamil avec le t-shirt jaune, Martina au milieu et floue,
Julian à droite avec le pull gris et Albena derrière Kamil, devant l'ordinateur.
Julian à droite avec le pull gris et Albena derrière Kamil, devant l'ordinateur.
Quelle journée étrange, de par son atmosphère dimanchesque, le calme de la ville malgré la fête nationale, la lenteur de l'horloge, la tête en vrac, le réveil difficile, tout cela réunit nous donne donc ce Didi (à vous de trouver ce que cela signifie, aucun rapport avec une mauvaise prononciation du "débarquement"). Aujourd'hui je me suis levé à une heure, dans une chambre qui n'est pas la mienne, je me suis dépêché de m'habiller, prendre mes affaires, dit au revoir à Julian et lui ai dit que j'attendais son appel. Nan mais en fait, La copine de Gianluca est là pour plusieurs jours, et histoire de leur laisser un peu d'intimité, Julian m'a proposé de dormir dans sa chambre hier soir, puisque son coloc dormait je sais pas où.
La soirée d'hier était quelque peu mouvementée. On a d'abord mangé des Hamburgers, mais des vrais (allemands) cuisinés par Julian. Ensuite on a bu un peu, histoire de changer, dans le 2e étage de mon building (je suis au 5e), histoire de faire redescendre tout ça, je suis monté dans ma chambre (haha) regarder la fin du match du PSG, ait assisté au but de Giuly contre son ancien club. (Pour une fois que c'est pas un ancien du PSG qui marque contre nous, mais l'inverse, on va pas se plaindre). Ensuite j'ai rejoins les autres dans le 3e buildings, 6e étages, où il y avait une soirée avec pour thèmes ces putains de Hippies comme dirait Cartman. Le couloir est bondé, comme souvent, dans les soixante personnes, pas vraiment de place pour s'asseoir donc. Bon jusque là tout va bien, je suis en forme, l'alcool n'est pas trop monté, Paris a gagné, je me marre tout est réuni quoi. C'est alors que des amis me proposent de bouger dans un bar au doux nom français de "Chapeau Rouge" me demandez pas pourquoi, c'est comme à Chavenay avec le bistrot du village qui s'appelle "Chez Pierre et Marguerite", mauvais exemple les proprios s'appellent comme ça.
Tout le monde se prépare, c'est l'occasion pour moi de porter ma superbe doudoune bordeaux que j'ai acheté la semaine dernière, la classe quoi ! La troupe se forme, elle est hétéroclite, bulgares, français, allemand, polonais. On prend le tram, après trois stations, deux françaises décident de descendre pour fumer une clope, il est alors dans les 2h du matin, et les trams ne passent que toutes les demies heures la nuit, autant dire qu'on les a pas revu et qu'elles sont rentrées... On arrive au bar trente minutes plus tard, après qu'ils aient suivis mes indications, bah ouai je dois être un des seuls à avoir un bon sens de l'orientation, mine de rien je commence à bien connaître Prague après un bon mois passé ici. Chose amusante, deux autres françaises nous quittent quelques secondes après que l'on soit entré dans le club, raison invoquée? La musique est moisie. Ce qui soit dit en passant, n'est pas faux. Mais bon la Becherowska, et quelques bières me permettent de passer au delà!
On est plus que six, la sélection naturelle a donc fait son oeuvre, il ne reste plus que Julian, l'allemand, Kamil le polonais, Albena et son amie Luba (les deux bulgares) ainsi que Jean Robert et moi, les deux derniers représentants du contingent français. On danse, on fume, on boit, on fume encore puisque le premier joint n'a pas vraiment fait son effet. La nuit avance, le premier métro aussi. Avec Jr et Kamil, on décide de rentrer, non pas que je sois fatigué, mais j'ai atteint mon PNR et je ne suis pas le seul. Le Point de Non Retour c'est un concept, hérité de mon pote Charly, qui est une sorte de ligne à ne pas franchir, sous peine de sombrer dans un état pitoyable. J'ai la chance de savoir quand il faut s'arrêter, bien qu'il me soit arriver quelque fois de passer outre, à mes risques et périls. Mais hier j'ai su garder le cap, je n'ai pas fumer le dernier joint, celui qui m'aurait fait décoller vers une planète trop éloigné pour espérer un retour à Hostivar sans dommage.
En rentrant on s'arrête à Mustek pour se manger un Mc do à 4h30, j'ai encore le ticket, et puis on prend un des premiers métro. Chose amusante, je crois qu'on est tous synchro, JR et Kamil sont aussi dans la pleine force du PNR, le voyage est donc silencieux, ponctué seulement de quelques réflexions quant à notre état avancé d'ivresse/défonce. C'est sur que ce n'est pas très glamour de le raconter comme cela, j'ajouterai même qu'il y a une pointe d'immaturité la dedans, mais bon je me suis engagé à raconter ce qui se passe ici, autant le faire à fond ou presque. Une fois arrivé à Skalka, on attend le bus une dizaine de minute, puis on rentre à Hostivar vers les cinq heure et demie. Je souhaite bonne chance à JR pour sa valise. En effet, il doit la préparer et repartir dans le centre afin de prendre un train pour Budapest, à sept heure trente-neuf... du matin. J'investis la chambre de Julian, me fout en caleçon et me pose dans le lit de son colloc, après avoir installé les enceintes, et m'endors bercé par Arcade Fire.
Résultat? Sans avoir de gueule de bois, je dois admettre qu'aujourd'hui j'étais claqué/apathique/grosse loque ! Malgré cela, je me suis motivé pour accompagné Norma, Mathias, Gianluca et sa copine à une exposition d'art contemporain : De Monet à Warhol ! La grosse arnaque, il n'y avait qu'une toile de chacun des peintres, le reste c'était du Kirchner, Dubuffet, Giacommetti(qui a fait quoi à part la même statue dérivée dix milles fois?), Klein et d'autre dont je n'ai pas envie de retenir le nom. Bref, à part le quartier qui est sympa, le musée et l'expo en elle même n'est que l'accouchement d'une souris.
Bon allez, je retourne comater !
La soirée d'hier était quelque peu mouvementée. On a d'abord mangé des Hamburgers, mais des vrais (allemands) cuisinés par Julian. Ensuite on a bu un peu, histoire de changer, dans le 2e étage de mon building (je suis au 5e), histoire de faire redescendre tout ça, je suis monté dans ma chambre (haha) regarder la fin du match du PSG, ait assisté au but de Giuly contre son ancien club. (Pour une fois que c'est pas un ancien du PSG qui marque contre nous, mais l'inverse, on va pas se plaindre). Ensuite j'ai rejoins les autres dans le 3e buildings, 6e étages, où il y avait une soirée avec pour thèmes ces putains de Hippies comme dirait Cartman. Le couloir est bondé, comme souvent, dans les soixante personnes, pas vraiment de place pour s'asseoir donc. Bon jusque là tout va bien, je suis en forme, l'alcool n'est pas trop monté, Paris a gagné, je me marre tout est réuni quoi. C'est alors que des amis me proposent de bouger dans un bar au doux nom français de "Chapeau Rouge" me demandez pas pourquoi, c'est comme à Chavenay avec le bistrot du village qui s'appelle "Chez Pierre et Marguerite", mauvais exemple les proprios s'appellent comme ça.
Tout le monde se prépare, c'est l'occasion pour moi de porter ma superbe doudoune bordeaux que j'ai acheté la semaine dernière, la classe quoi ! La troupe se forme, elle est hétéroclite, bulgares, français, allemand, polonais. On prend le tram, après trois stations, deux françaises décident de descendre pour fumer une clope, il est alors dans les 2h du matin, et les trams ne passent que toutes les demies heures la nuit, autant dire qu'on les a pas revu et qu'elles sont rentrées... On arrive au bar trente minutes plus tard, après qu'ils aient suivis mes indications, bah ouai je dois être un des seuls à avoir un bon sens de l'orientation, mine de rien je commence à bien connaître Prague après un bon mois passé ici. Chose amusante, deux autres françaises nous quittent quelques secondes après que l'on soit entré dans le club, raison invoquée? La musique est moisie. Ce qui soit dit en passant, n'est pas faux. Mais bon la Becherowska, et quelques bières me permettent de passer au delà!
On est plus que six, la sélection naturelle a donc fait son oeuvre, il ne reste plus que Julian, l'allemand, Kamil le polonais, Albena et son amie Luba (les deux bulgares) ainsi que Jean Robert et moi, les deux derniers représentants du contingent français. On danse, on fume, on boit, on fume encore puisque le premier joint n'a pas vraiment fait son effet. La nuit avance, le premier métro aussi. Avec Jr et Kamil, on décide de rentrer, non pas que je sois fatigué, mais j'ai atteint mon PNR et je ne suis pas le seul. Le Point de Non Retour c'est un concept, hérité de mon pote Charly, qui est une sorte de ligne à ne pas franchir, sous peine de sombrer dans un état pitoyable. J'ai la chance de savoir quand il faut s'arrêter, bien qu'il me soit arriver quelque fois de passer outre, à mes risques et périls. Mais hier j'ai su garder le cap, je n'ai pas fumer le dernier joint, celui qui m'aurait fait décoller vers une planète trop éloigné pour espérer un retour à Hostivar sans dommage.
En rentrant on s'arrête à Mustek pour se manger un Mc do à 4h30, j'ai encore le ticket, et puis on prend un des premiers métro. Chose amusante, je crois qu'on est tous synchro, JR et Kamil sont aussi dans la pleine force du PNR, le voyage est donc silencieux, ponctué seulement de quelques réflexions quant à notre état avancé d'ivresse/défonce. C'est sur que ce n'est pas très glamour de le raconter comme cela, j'ajouterai même qu'il y a une pointe d'immaturité la dedans, mais bon je me suis engagé à raconter ce qui se passe ici, autant le faire à fond ou presque. Une fois arrivé à Skalka, on attend le bus une dizaine de minute, puis on rentre à Hostivar vers les cinq heure et demie. Je souhaite bonne chance à JR pour sa valise. En effet, il doit la préparer et repartir dans le centre afin de prendre un train pour Budapest, à sept heure trente-neuf... du matin. J'investis la chambre de Julian, me fout en caleçon et me pose dans le lit de son colloc, après avoir installé les enceintes, et m'endors bercé par Arcade Fire.
Résultat? Sans avoir de gueule de bois, je dois admettre qu'aujourd'hui j'étais claqué/apathique/grosse loque ! Malgré cela, je me suis motivé pour accompagné Norma, Mathias, Gianluca et sa copine à une exposition d'art contemporain : De Monet à Warhol ! La grosse arnaque, il n'y avait qu'une toile de chacun des peintres, le reste c'était du Kirchner, Dubuffet, Giacommetti(qui a fait quoi à part la même statue dérivée dix milles fois?), Klein et d'autre dont je n'ai pas envie de retenir le nom. Bref, à part le quartier qui est sympa, le musée et l'expo en elle même n'est que l'accouchement d'une souris.
Bon allez, je retourne comater !
Moi, j'en suis incapable... morte à la vesprée because médocs que je dois prendre.
Pour ton "match" de froidure, attendons janvier : en ce moment, nous sommes au Québec en pleine vague de chaleur, mais dès cette nuit neige et glace sont au programme. Bon travail !