Mercredi 29 novembre 2006 à 18:05

    Je me suis souvent posé la question, et je suis loin d'être le seul, preuve en est faite. Imaginons nous l'occupation allemande, nous simples citoyens français, aurions-nous fuis, rejoins la résistance, collaboré, ou tout simplement serions nous resté passif comme la plupart de nos aïeux... Je me la pose souvent cette question : Qu'aurai-je fait?

    Malheureusement pour moi chers lecteurs, je pense que je serais resté désespérément banale, j'aurai continué mon travail, ma vie, n'aurais pas non plus collaboré, mais je n'aurai rien entrepris d'héroïque. Je n'ai pas l'âme d'un aventurier et je ne suis pas non plus d'un très grand courage. Courage devant l'envahisseur et cette horde moins Barbare qu'inhumaine. Tout est dit, je n'aurai été qu'un énième français à la conscience mauvaise, qui aurait certes tourner le dos à l'occupant mais pas tendu la main aux exclus...

    Alors bien entendu, personne ne peut savoir ce que véritablement il aurait fait, car on peut tout y perdre et donc par la force des choses, tenter quelque actions désespéré. Tout peut arriver, un évènement et votre sang ne fait qu'un tour, vous partez rejoindre le maquis. Mais je ne suis pas ce là, je suis juste un penseur idéaliste (faible) qui aurait gardé ses idées pour lui le temps que cela se tasse... J'espère au moins une chose, je n'aurai pas été un de ces "résistants de la dernière heure" qui eux aussi ne valent pas mieux que les collabos par leurs lâchetés et leurs pseudo bonne conscience...

    Ces mecs là m'ont autant écoeuré que les collabos à tondre des femmes qui n'avaient commis aucun crime, le soldat occupant n'étant (mise à part les SS et autre groupe paramilitaire) pas des hommes mauvais. Ils ne faisaient que leur job de soldat rien de plus. On les a stigmatisés, mais la faute est plus haute, ils ne sont au final que des hommes pris dans un engrenage où ils sont sommés d'obéir. Dans le cas contraire ils meurent, tout comme nous. Et puis quand bien même je devrais les juger s'ils étaient coupables, je n'ai pas à leur en vouloir, je ne suis qu'un gamin de 17ans qui survole les faits près de 60 ans plus tard. L'histoire a jugé, pas moi...
 
Edit :
    Une dernière chose, comme vous avez pu le voir dans le commentaire de nondine, j'ai découvert ou plutot redécouvert un grand morceau trop souvent oublié de la chanson française qui bizarrement n'est pas mentionné sur le site officiel du chanteur en question... Mais que diable, il ne faut pas en avoir honte !

Dimanche 26 novembre 2006 à 13:28

    Mon article vient de s'effacer, et il faut bien le dire, ça me casse les couilles... À l'inverse de nombre de mes concitoyennes qui utilisent cette expression à mauvais escient. Pourquoi cher lecteur/lectrice? Tout simplement parce qu'elles n'en ont pas. Comme je m'évertue à le rappeler à chaque fois, que ce soit à Hannah ou à Rutabaga, vous pouvez à la limite dire : "ça me ligature les trompes!" Et enfin vous serez dans le vraie... En parlant de vrai, c'était en fait un des sujets de ce putain d'article qui vient de se perdre dans les Abymes de cow et auquel vous n'aurez jamais plus accès, pauvre de vous...

    Bref, je vous disais qu'il était important de privilégier la vérité au mensonge et que même si parfois il semblait salvateur de garder un petit havre de secret en soi, il est nécessaire au bon déroulement psychologique d'une personne de ne pas tout prendre sur elle pour au final éclater comme un ballon de baudruche trop gonflé à force d'engranger toujours plus d'un air qui serait bien mieux dehors que dedans (admirez au passage la métaphore bien pourri)... Bien entendu je ne dis pas non plus qu'il ne faut rien garder pour soi, mais le stricte minimum me semble ce qu'il y a de mieux.

    D'un autre côté, et vous devez sûrement le savoir, je n'ai jamais réellement été de bon conseil, je ne fais donc qu'appliquer mes principes à moindres échelles (la mienne) et constater les ravage ou les bienfaits d'un tel comportement. Confronter différent point de vue sur notre être, à celui strictement personnel n'a jamais fait de mal, au contraire il nous permet de mieux encore nous connaître, de savoir ce qui ne marche pas et ce qu'il faut adapter. Il n'y a que le dialogue qui fait avancer, je ne crois pas aux autodidactes...

    Ce dernier paragraphe sera consacré à ma petite vie, il exprimera ma pensée, dira que j'ai passé une super soirée hier et bien qu'étant outrageusement ridicule dans mon costume mi costar/mi « plus classe » je me suis bien amusé. Je vous dirais que j'avais peur de rester dans mon coin et qu'au final, j'aurai parlé avec presque tout le monde si ce n'est plus. La fête s'est même prolongée dans mon lit (à ne surtout pas prendre de façon détourné ou hors de son contexte). En effet j'en ai rêvé pendant la majeure partie de la nuit et de façon plus que réaliste, ce même rêve étant souvent ponctué par des regardages d'heur pour savoir si oui ou non j'allais rater mon train (il était 64h26 sur mon portable et mon dernier train était à 1h23, cherchez l'erreur). Assez savoureux il faut bien le dire...

Vendredi 24 novembre 2006 à 17:22


Celle là elle sera plus tard dans les livres de français :




La subjectivité n'est qu'une question de point de vue !



Putain Quentin comment tu es trop fort... Je crois que tel l'artiste, mon génie n'a de cesse de me surprendre, de me dépasser!

ps: Dites moi que personne ne l'a fait avant, pitié !!!! (je me rends compte que je suis d'une prétention outrageusement outrageuse pour une simple phrase qui n'est somme toutes qu'un simple pléonasme)




JE TE DÉTESTE !!!!!!!
Plus jamais un coup pareille!

Tiens pour la peine :


 
                           [...]
Hannah :  Bon allez bonne nuit Quentin.
Moi : Heu ouai pareille.
Hannah : Ouai c'est ça, fous toi les doigts dans le cul !
Moi : *Grand éclat de rire !*

Mardi 21 novembre 2006 à 19:52

    En ce moment mes bonnes notes m'ont quelque peu fermé l'esprit à un point tel que je peste sur un 12 en anglais et que je m'auto flagelle parce que je n'aurai pas 14 ou 15 à mon contrôle d'histoire. Mais merde Quentin ressaisis-toi, redeviens ce que tu étais avant : médiocre, moyen bon... Enfin  « redeviens » « redeviens », tout est relatif, j'ai même envie de dire que je l'ai toujours été. Bref, ne vais pas disserter sur le mal de vouloir le bien sinon nous n'en avons pas finis!

    Notre cours de philo sur l'art était et je le crois sincèrement d'une inutilité flagrante, du moins la fin du chapitre. Distinguer le Beau commun du beau différent et de ce qui m'est agréable... Pour le coup Kant n'avait vraiment rien à faire de mieux qu'a s'emmerder pour disserter dessus. À la limite la distinction entre agréable et Beau est quelque peu nécessaire, mais pourquoi s'évertuer à vouloir à tout prix distinguer signification qui au final et quoiqu'on en disent se recoupent et ne font en rien avancer le Schmilblick! C'est une des seules fois où je ne partageais pas l'avis du prof et de ses auteurs...

    Si part hasard j'arrive à atteindre mon but, je baserais ma théorie sur le profond égoïsme de l'homme. Et insisterait pour expliquer que les artistes n'ont en rien quelque chose de plus que les autres, où quelque don que se soit! Nous serions dans une véritable tragédie où personne ne peut changer son destin et évoluer personnellement autrement que hiérarchiquement. Bref, je ferais de vous des égoïstes, mais au moins des égoïstes à égalités!

Dimanche 19 novembre 2006 à 20:10

     Comme vous vous en doutez, je vais tout simplement reposter la chose que l'on appellera article, pamphlet que je m'étais empressé d'asséner au blog d'Xotique Fruts et des balluches. J'ai une de ces pêches aujourd'hui, cette petite journée pourtant banale à Paris m'a donné la patate et pour rester dans les fruits et légumes j'ai retrouvé la banane ! (aucune connotation sexuelle accepté et je serais intransigeant dessus...) Donc! Voici la preuve qu'il existe encore des chevaliers blancs qui volent aux secours des jeunes damoiselles en détresse assaillient par des flots ininterrompus de tags tous plus ignobles, totalement vils! (Je me sens troubadour) les mots semblent glisser à travers mes doigts tel un flot incontrôlé et incontrôlable, sorte de suite de magnifiques sonorités...

    La vie est belle aujourd'hui mes amis, il ne sait rien passé de spéciale mais je me suis retrouvé, moi personne égarée dans ce sentier que l'on nomme doute. Le doute est certes une nécessité, mais il n'en reste pas moins une souffrance. Cette souffrance, je l'ai subie, combattue bien que moins noblement qu'à l'accoutumé. Mais qu'importe, il nous faut sourire, appréciez ces rares moments de paix qui n'en sont pas vraiment, car c'est l'euphorie qui l'emporte. Une euphorie si douce, si paisible et pourtant... Ah je me sens revivre, comme si je sortais d'un songe particulièrement douloureux et collant, comme embourbé dans un malheur qui ne veut partir. Et bien ce malheur s'en allé dans d'autre contrés, comme bouté hors de ma tête. Espérons, car l'espoir est d'une importance capitale, qu'il s'en soit allé pour un petit moment, mes très chères lecteurs! L'allégresse de tout savoir, enfin, de se dire que l'on est libre, que l'on s'est retrouvé. La vie est belle mes amis, jouissons en ensemble!

    Voici donc les extraits, si vous me le demandez, je vous mettrais les preuves, mais il suffit juste de chercher dans les tagboards voisines et vous en trouverez... (attention c'est fait à l'arrache, mais avec amour)
















<------------->


                                             I
                                             I
                                         
V

            

Allez, j'ai décidé d'être trop gentil, ça me perdra...
Enfin la suite et la fin de ce Post impromptue et tellement jouissif :

<< Page précédente | 1 | 2 | 3 | Page suivante >>

Créer un podcast