Moi aussi je sais parler anglais... Hein le cookies ? Donc reprenons ce qui était un début de post. Je tenais juste à dire que j'avais passé une semaine de merde. Semaine surchargée de Dm, notamment celui d'éco et de math (d'un autre cotés c'étaient les deux "seuls" qu'on avait... Logique me diront certains). Je tiens à préciser que notre prof de math est toujours aussi con. Et aussi qu'il pu la transpiration, mais ça on le garde entre nous ok ? Fait donc notable de cette semaine, le dm d'éco que j'ai une fois de plus fini in extremis, c'est à dire à h plus 2min! Dur dur de synthéser, c'est le dérivé (encore un...) du mot synthèse, sur le rapport entre la croissance et le développement humains. Je dois quand même reconnaître mon grand mérite d'avoir recopier le tout en moins d'une heure. Il arrive encore de me surprendre moi-même. Il se peut par contre que la note, elle, soit disons moins surprenante, vu non pas le travail fourni, car je ne vous permet pas de dire que je ne travaille pas (toussote) mais je n'étais pas vraiment inspiré.
Cette semaine et aujourd'hui en particulier, dis donc il s'en est passé des choses en ce vendredi, fût marquée par la non-campagne des élèves postulants dans la classe au titre de délégués. Mes expériences douloureuses du collège m'avaient appris une des choses les plus importantes qui soit : Malgré les sollicitations de mes compatriotes, je ne devais surtout pas céder à l'appel de la gloire, car l'annonce d'une candidature finissait toujours pas un syndrome du 21 avril, ou si vous préférez une défaite jospinienne. En d'autre terme : Un très belle porte dans la gueule. Cette année donc, comme les 3 années précédentes, je décidais d'être un simple observateur. Loin de moi néanmoins l'idée d'être un observateur neutre, j'organisais des alliances de partisans, des votes de barrages anti-untel (hein Alex ?). Qui au final on peut le dire, n'ont qu'a demi marché. Bref, pour la première fois de ma trop longue vie, je me suis retrouvé dépouilleur, scrutateur, et je vous assure que ça fait quelque chose. Surtout des relents de parkinson en fait (la honte).
Je vous disais donc que malgré la véritable marée humaine se déferlant pour ma candidature (4 personnes), j'avais décidé d'appliquer le dicton : "Celui ki ki konduit c'est celui qui ne boit pas" Comprenez par là, celui qui lit les bulletins ne se présente pas. Quelle ne fut donc pas ma demi-surprise lorsque Ô rage Ô désespoir mon nom ainsi que celui de plusieurs de mes compatriotes non inscrit apparurent sur ces petits bouts de papier. En effet environ quatre noms étaient venu profiter de tout l'espace laissé par le faible nombre de "vrais" candidats. Au final et après avoir lu des messages fort sympathiques, notamment des jeux de mots avec mon prénom sur le bulletin, je finissais un score honorable. Sans m'être présenté rappelons le, d'ailleurs deux non-présentés avec le même score, mais l'une décidément anti délégué, préféra renoncer...
Une dernière chose, lorsque je dépouillais les différents bulletins, un des tags me fit particulièrement rire par sa bâtardise. Il y était écris le premier nom du délégué, puis le mien mais barré, histoire de me foutre les boules, j'ai trouvé ça marrant. Et oui il en faut du sens de l'humour pour être sous délégué! (rôles de branleur!)
Ps: j'ai trouvé ce clip filé par notre chercheur de place de cinéma attitré, pour la séance de lundi débat avec le réalisateur d'indigène, particulièrement bien fait. Plein d'humour, avec un bon "flow"