Vendredi 11 janvier 2008 à 0:21


[
Originalité]



    Pourquoi entrer sans cesse par la même porte. Se vendre différent d'être eux-mêmes auto proclamés "différents". Il y a dans cette idée naïve, un paradoxe plus qu'amusant ; À force de démarcation, ne formons nous pas une même ligne, évidemment continue, mais sans relief véritable? Nous nous retrouvons alors sans cesse dans une course à l'innovation pour l'innovation, à la pluralité sans âme. En somme, à l'inégalité. Alors que l'un est tout, le tout ne veut être qu'un. Cet homme est égoïste, prétentieux et malheureusement inutile.


Contexte à venir.

[...]

Contexte : Notre bonne vieille société...


Lundi 7 janvier 2008 à 22:37

[Cousine !]

   
   
   
    Après une réflexion sur l'action de Monsieur Sarkozy, après une réflexion sur l'état de mon être, voilà venu le temps d'alléger tout cela, en ne vous postant qu'un bref article. En effet, pendant trois semaines vont s'enchaîner un nombre important de devoir maison ou partiel pour moi. Je vais donc être occupé et je le suis déjà d'ailleurs. Les posts se feront donc relativement rares pendant ces 2/3 semaines qui s'annoncent. Le travail en Humanités, c'est tout au long de l'année et encore un peu plus long lors de ces fameuses partielles. En aucun cas cette section n'est une erreur, elle est plus qu'intéressante. Mine de rien, elle me prends pas mal temps, et je déteste prendre de l'avance, l'urgence me stimule, et me fatigue... Ainsi mes articles ne seront que des brèves ou, si les muses me chatouillent, d'une autre teneur. Je me dois de vous laisser, un commentaire de théâtre latin m'appelle !

Plaute, c'est goude. (comme disent BCBG de Chavenay)


Une dernière chose, je trouve vos commentaires particulièrement gentils, ce n'est pas normal !

Mercredi 2 janvier 2008 à 4:48


[
Je peux désormais me targuer d'avoir un sourire bright, enfin !]
   


   
    J'ai souvent l'impression d'avoir fait un nombre incalculable d'erreurs dans ma vie. Il m'arrive parfois de rejouer toutes ces scènes d'une autre manière, comme pour me réconforter. Me dire que composer différemment, cela aurait pu changer une vie, la mienne ; ce qui a fait de moi ce que je suis actuellement. Un être paumé au plus profond de lui-même. ne sachant pas vers quoi tendre, inlassablement pris de doute. De ces regrets permanents découlent une incapacité chronique à avancer le cœur serein, dénué de fiction me pourrissant l'âme. Plus qu'un travers, cet amas de maux se trouve être une solution de facilité pour masquer des échecs inévitables. Triste. Il est un reproche que l'on m'a toujours fait et dont j'espère un jour me délivrer. Trop réfléchir sans jamais agir. Tout cela formant une partie non négligeable de ma personnalité. Et qu'il est difficile de se renier.


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