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    Ce n'est pas le genre de principe que j'affectionne tout particulièrement, cette espèce de sélection opérée par le vêtement discriminatoire qu'est la tenue dite de soirée ou classe tout dépends comment chacun l'entends. Je n'étais donc pas très emballé par le fait de devoir m'acheter un costume pour l'évènement ô combien important qu'était les 18ans de Jul(iette). Malheureusement il faut savoir faire des sacrifices pour satisfaire aux critères de Madame. M'enfin, toujours est-il que j'ai finis par céder et m'acheter une panoplie digne des plus grands. Avec en prime une cravate rose car même classe, je reste fashion (sachez au passage que j'emmerde la pomme) qui faisait de moi la plus belle pour aller danser. Dalida qu'est-ce que tu nous manques !

    La soirée était comment dire... Un peu comme les photos que je vais m'empresser de vous montrer pour votre plus grand plaisir. À noter que j'ai gâché toutes mes chances quasiment d'entrée en m'étouffant à moitié (comme une merde) avec un bout de viande. On a tous l'air con dans la vie, mais pourquoi hier soir ?! Triste vie et brave homme que je suis. Au passage, je tiens à dire que je déteste de plus en plus les beaux mots pour les beaux mots. Mais cela sera l'oeuvre d'un autre article sans doute. De même que je me dois de vous raconter la fin de ma ô combien sublime (et ridicule) nouvelle. Et maintenant, en avant les photos mes amis, car je vous aime tous mes amis ! TOUS ! (non je n'ai pas bu, pas encore...)

Faouuu, Fa Fa Faouuuuuu. (comme le cri du loup Ahouu, ah ah ahouuuu)





(Alcoolique)



Elle est belle ma cravate hein?



Brave homme... (et communiste)



Nanaaaaaaaaaa



Nous on a le groove et jul a une très jolie robe ^^



Mannequin pour les mains? Une seconde nature !



Notre Sarkozyste, Cha pour les intimes.




La Maryline Monroe Marocaine !



Remarquez au passage l'intérieur très kitsch de la veste...



Et encore, vous l'auriez vu samedi soir (a pu ^^) ! Sacré Fred !



Hé ho, fallait bien... Maxime n'est pas n'importe qui, surtout pour Alex ^^



Joli boucles d'oreilles.



Je suis désolé Jul, je n'ai pas de meilleur photo de toi, Faut dire que tu allais de droite à gauche, très occupé ma ptite juliette. (on dirait un texte de skyblog oh my god !)



Flo est à fond ! Et ça se voit ! (ah ba non, sourire crispé bongour !) Heureuse?



Et on finit avec notre Boys Band de la soirée ! À noter que Julien est particulièrement dedans. Cette image me fait mourir de rire...

    En ce moment je vois des appels à l'aide de la part d'une amie, des projets en pagaille pour une autre, une carte arrosée au café dans un bain  de Marianne tandis qu'un, pour mon plus grand désarroi, aime définitivement le sol alors que toi c'est l'inter et lui les versaillaises! Sans compter la bouche pleine de dents et son spectacle de danse. Je vois pas mal de truc en ce moment, qui me font sourire ou me rendent triste, nerveux. Parce qu'au fond je tiens à eux, plus qu'à n'importe qui d'autre. J'en ai vu qui n'y crois à ces belles paroles, préfèrent s'enfermer dans leur certitude de solitude. On se rend compte, assez bizarrement, que la personne ne fait pas tout. L'objet de nos désirs que l'on croit irremplaçable, extraordinaire, prédestiné peut ne pas l'être. Je m'excuse pour l'emploi du terme objet puisque aucune notion de possession ne doit nous effleurer l'esprit. Jamais. Hier je discutais, avec une amie, au détour d'une route. Elle dans une relation chaotique, moi dans mon renouveau. Et je me suis rendu compte d'une chose. Les amis sont restés. Alors qu'elle est venu puis repartie. Eux ont toujours été là, devant subir mes humeurs, mes bouffonneries, mon caractère de petit con. Ils sont restés là, m'ont remis à ma place mainte et maintes fois, m'ont foutu des bonnes claques aussi. Hein jul? Mais bordel, c'est salutaire !

    Ce n'est pas une confrontation entre l'amour et l'amitié, car pour moi ces deux notions sont indissociables.  Non c'est juste une vision différente de l'autre. Des attentes que l'on en a. Et pour dire vrai, d'une opposition au schéma que j'ai jadis construit qui consistait en: « L'alter ego plus que tout ». C'est important certes, plus qu'important. Mais jamais ô grand jamais il ne doit supplanter comme il l'a fait chez moi et  chez bon nombre de personne, ceux qui m'ont et nous ont soutenu. Combien de connaissances se referment dans leurs relations au point même de se rendre compte que sans cet(te) autre elles n'ont plus rien. J'en connais et je continuerai à en connaître car malheureusement l'amour rend aveugle, nous prive des plaisirs simples d'une amitié sincère, libre de toutes contraintes comme celle de rester avec l'autre, d'y être soumis ou de le soumettre. J'en parlais avec cette amie, qui elle aussi vivait la situation qu'il faut justement éviter. Celle qui vous fait dire une fois la relation en suspend : "Je compte sur vous pour me sortir !" Avant j'avais du mal à comprendre qu'on puisse tenir à plusieurs personnes, car dans mon petit esprit fermé il ne devait toujours y avoir qu'un élu, une unique personne à qui tout confier. J'ai eu tort, tous les horizons, toutes les idées sont bonnes à prendre et ce n'est pas en s'enfermant comme le font certains et certaines que nous ne passerons pas une vie de merde. Car une vie sans amitié et un replis sur deux, ce n'est pas une vrai vie. Tout comme les amis ne remplaceront jamais l'être cher, mais ils auront leur place à nos côtés, car ils sont des pièces différentes d'un même puzzle. Aucune ne peut et ne dois prendre la place de l'autre !

C'était une réflexion, qui me trotte dans la tête comme ça. Ceux à qui est adressée cette déclaration se reconnaîtront. Tout comme d'autres doivent sûrement s'y retrouver. Je l'espère du moins, même si cela est une belle preuve d'arrogance (je trouve plus le mot exacte, ça fait 10min que je bloque dessus) de croire que les autre pensent comme vous.

    Une des phrases que j'affectionne le plus et qui est tirée d'un célèbre film, je vous donnerais la réponse plus tard.  Connaissez vous l'histoire du schtroumpf qui tombe et qui se fait un bleu? Dommage. En parlant de chose dommageable, le commentaire de flou était assez véridique. Parler de politique c'est bien mais pas tout le temps. Disons que nous avons eu notre dose pour le moment, attendons que les choses commencent réellement pour applaudir ou critiquer un président qui représente tous les français avec 53% des voies ! Passons à autre chose maintenant. Je me suis aperçu d'un fait assez marquant, sous ma douche (et n'allez pas chercher de choses détourner, je vous prie) parce que je me lave, qui est le suivant : Cela fait un bail que je n'en ai pas parlé. D'elle, d'un nous qui fut, de lui. Bref de tout ça. Et putain ça fait du bien de s'en rendre compte, qu'on en parle pas (Faut suivre hein), qu'on est plus vraiment sous l'effet de la colère pour un truc débile, ou remplis de tristesse parce qu'elle vit sa vie. C'est bien de repartir à zéro. Un peu.

    Je ne recommencerai donc pas dans un de ces articles ô combien immature, dénué de profondeur et désespérément subjectif. Flo voulait que je vous parle de la soirée qu'elle a raté Lundi soir chez moi, organisé à l'arrache après trois ou quatre possibilités envisagés puis dévisagés (haha) pour finalement céder à l'opportunisme (des parents qui vont dîner chez des amis). Je ne suis pas de ceux qui se la pète pour ce genre de truc, à la limite j'essaie de dégoûter celui ou celle qui n'a pas pu ou voulu venir mais c'est tout. Je ne m'appesantirais donc pas sur des faits qui ne vous intéressent en rien. A retenir donc, une soirée à l'arrache, des participants ô combien sympathique, une soeur qui fait de la résistance en ramenant du renfort dans l'espoir de finir les bouteilles (à 15ans. j'ai honte) et une nuit qui se finis dehors dans le froid rendu inoffensifs par les doux soins de l'alcool. Du double cassage de gueule de Fred, relativement pitoyable, mais marrant. Une fois dans le Salon, l'autre dans une flaque d'eau. Du pétage de câble d'Adrien qui, après 6 duels remporté de whisky cul sec contre Fred, vers les 2heures du mats en plein départementale ressentis soudain l'appel du béton. Sinon se casser la voix sur des vieux vinyles c'est cool, les voir s'extasier devant un bon vieux clash de 80, c'est mieux.

    Disons aussi que cette soirée aura eu de bénéfique, de me faire prendre conscience que certains ont vraiment envie du journal, et que peut être j'entamerai un dernier tour d'honneur avec mes comparses pour préparer leur succession l'année prochaine. Puisqu'ils sont en première, je ne vois pas pourquoi je ne leur permettrai pas de faire du Nouvel Oups une donne non périssable de l'année 2007/2008. Et puis actuellement, il y a à dire aussi bien à l'intérieur de notre bon lycée qu'à l'extérieur. Prions juste pour que leurs ardeurs contre la CPE soient quelque peu calmées, il me reste un mois à purger et je ne veux pas prendre le risque de la récidive.

    Je vous l'avais dit, cet article est sans intérêt pour beaucoup qui n'y voit qu'une page de plus dans le livre déjà trop remplis d'un adolescent post pubère, bien que les doutes subsistent, en mal de sensations fortes. Et des sensations fortes il va en avoir, car là présentement c'est son cahier de math qui l'attend, en plus de la montagne de révision qu'il lui reste à gravir. Dur d'être en terminal, mais moins dur que d'être dans un hangar, sans le sous, à coudre des chaussures pour une marque « virgulaire ».

L'adresse du Nouvel Oups est dans mon profil, bandes de jeunes incultes. Le Nouvel Oups est pourtant un lieu culturel reconnu ! Ici