En ce moment je vois des appels à l'aide de la part d'une amie, des projets en pagaille pour une autre, une carte arrosée au café dans un bain de Marianne tandis qu'un, pour mon plus grand désarroi, aime définitivement le sol alors que toi c'est l'inter et lui les versaillaises! Sans compter la bouche pleine de dents et son spectacle de danse. Je vois pas mal de truc en ce moment, qui me font sourire ou me rendent triste, nerveux. Parce qu'au fond je tiens à eux, plus qu'à n'importe qui d'autre. J'en ai vu qui n'y crois à ces belles paroles, préfèrent s'enfermer dans leur certitude de solitude. On se rend compte, assez bizarrement, que la personne ne fait pas tout. L'objet de nos désirs que l'on croit irremplaçable, extraordinaire, prédestiné peut ne pas l'être. Je m'excuse pour l'emploi du terme objet puisque aucune notion de possession ne doit nous effleurer l'esprit. Jamais. Hier je discutais, avec une amie, au détour d'une route. Elle dans une relation chaotique, moi dans mon renouveau. Et je me suis rendu compte d'une chose. Les amis sont restés. Alors qu'elle est venu puis repartie. Eux ont toujours été là, devant subir mes humeurs, mes bouffonneries, mon caractère de petit con. Ils sont restés là, m'ont remis à ma place mainte et maintes fois, m'ont foutu des bonnes claques aussi. Hein jul? Mais bordel, c'est salutaire !
Ce n'est pas une confrontation entre l'amour et l'amitié, car pour moi ces deux notions sont indissociables. Non c'est juste une vision différente de l'autre. Des attentes que l'on en a. Et pour dire vrai, d'une opposition au schéma que j'ai jadis construit qui consistait en: « L'alter ego plus que tout ». C'est important certes, plus qu'important. Mais jamais ô grand jamais il ne doit supplanter comme il l'a fait chez moi et chez bon nombre de personne, ceux qui m'ont et nous ont soutenu. Combien de connaissances se referment dans leurs relations au point même de se rendre compte que sans cet(te) autre elles n'ont plus rien. J'en connais et je continuerai à en connaître car malheureusement l'amour rend aveugle, nous prive des plaisirs simples d'une amitié sincère, libre de toutes contraintes comme celle de rester avec l'autre, d'y être soumis ou de le soumettre. J'en parlais avec cette amie, qui elle aussi vivait la situation qu'il faut justement éviter. Celle qui vous fait dire une fois la relation en suspend : "Je compte sur vous pour me sortir !" Avant j'avais du mal à comprendre qu'on puisse tenir à plusieurs personnes, car dans mon petit esprit fermé il ne devait toujours y avoir qu'un élu, une unique personne à qui tout confier. J'ai eu tort, tous les horizons, toutes les idées sont bonnes à prendre et ce n'est pas en s'enfermant comme le font certains et certaines que nous ne passerons pas une vie de merde. Car une vie sans amitié et un replis sur deux, ce n'est pas une vrai vie. Tout comme les amis ne remplaceront jamais l'être cher, mais ils auront leur place à nos côtés, car ils sont des pièces différentes d'un même puzzle. Aucune ne peut et ne dois prendre la place de l'autre !
Ce n'est pas une confrontation entre l'amour et l'amitié, car pour moi ces deux notions sont indissociables. Non c'est juste une vision différente de l'autre. Des attentes que l'on en a. Et pour dire vrai, d'une opposition au schéma que j'ai jadis construit qui consistait en: « L'alter ego plus que tout ». C'est important certes, plus qu'important. Mais jamais ô grand jamais il ne doit supplanter comme il l'a fait chez moi et chez bon nombre de personne, ceux qui m'ont et nous ont soutenu. Combien de connaissances se referment dans leurs relations au point même de se rendre compte que sans cet(te) autre elles n'ont plus rien. J'en connais et je continuerai à en connaître car malheureusement l'amour rend aveugle, nous prive des plaisirs simples d'une amitié sincère, libre de toutes contraintes comme celle de rester avec l'autre, d'y être soumis ou de le soumettre. J'en parlais avec cette amie, qui elle aussi vivait la situation qu'il faut justement éviter. Celle qui vous fait dire une fois la relation en suspend : "Je compte sur vous pour me sortir !" Avant j'avais du mal à comprendre qu'on puisse tenir à plusieurs personnes, car dans mon petit esprit fermé il ne devait toujours y avoir qu'un élu, une unique personne à qui tout confier. J'ai eu tort, tous les horizons, toutes les idées sont bonnes à prendre et ce n'est pas en s'enfermant comme le font certains et certaines que nous ne passerons pas une vie de merde. Car une vie sans amitié et un replis sur deux, ce n'est pas une vrai vie. Tout comme les amis ne remplaceront jamais l'être cher, mais ils auront leur place à nos côtés, car ils sont des pièces différentes d'un même puzzle. Aucune ne peut et ne dois prendre la place de l'autre !
C'était une réflexion, qui me trotte dans la tête comme ça. Ceux à qui est adressée cette déclaration se reconnaîtront. Tout comme d'autres doivent sûrement s'y retrouver. Je l'espère du moins, même si cela est une belle preuve d'arrogance (je trouve plus le mot exacte, ça fait 10min que je bloque dessus) de croire que les autre pensent comme vous.
Lol comme dirait tote, Lol. Et merci Sarah pour cette photo !