Tu as l'impression de te perdre, de tomber irrémédiablement dans ce gouffre sans fin. Comme si tu t'y étais précipité consciemment. C'est étrange de te dire que tu es heureux lorsque tu es entouré, mais une fois seul tout change, tout ce que tu t'étais attaché à construire, ce semblant de bonheur, s'écroule. Bien sûr tu essayes de sortir du gouffre, en remontant petit à petit, mais comme à chaque fois depuis un certain temps tu glisses, et retombes dans tes travers. Et puis tu recommences, encore, toujours. Par moments tu crois voir la sortie, la fin de ta souffrance intérieure, le retour de ton bonheur, mais tu ne l'atteins pas. Ta solitude pèse trop lourd et fait tout repenser et une fois de plus tu t'écroules. Faute de volonté...
Il existe évidemment des façons de t'extirper de ce mal-être qui te poursuit depuis des mois, tu tentes notamment de relativiser, mais pas tout de suite. Il te faut un certain temps, cette maturité qui te fait tant défaut, pour te rendre compte de ta chance. Tout cela tu le fais par moments, uniquement par moments. Ta superficialité est aussi une des cause de tes nombreuses rechutes. Tu ne pourras sortir de cette tourmente tant que tu ne seras pas durablement vraie, avec les autres, bien entendu, mais surtout avec toi. Ton salut passe par cette recherche de vérité que tu dois t'imposer pour te découvrir enfin... Ainsi tu pourras respirer la vie, profiter et peut être t'accepter...
L'ennui retombe tellement vite, par là même, l'impression de "bien être" qu'avait provoqué chez toi l'écriture, ta délivrance, ta presque vérité. Presque vérité car tu ne te sens pas encore honnête. Certes tu progresses, te dévoiles (peut-être trop?), mais la vérité est encore loin. Tu ne peux pas être heureux en étant faux et tu le sais. Certes tu te réjouis des quelques contentements que peux t'apporter la vie, mais ils ne sont rien en comparaison de l'aboutissement de ta recherche intérieure. Ce sera ta revanche face aux coups plus ou moins rudes de ta vie. Face à tes propres erreurs...
Avec elle tu t'étais trouvé, cette fameuse après midi...
Sorte de cercle vicieux.
Il existe évidemment des façons de t'extirper de ce mal-être qui te poursuit depuis des mois, tu tentes notamment de relativiser, mais pas tout de suite. Il te faut un certain temps, cette maturité qui te fait tant défaut, pour te rendre compte de ta chance. Tout cela tu le fais par moments, uniquement par moments. Ta superficialité est aussi une des cause de tes nombreuses rechutes. Tu ne pourras sortir de cette tourmente tant que tu ne seras pas durablement vraie, avec les autres, bien entendu, mais surtout avec toi. Ton salut passe par cette recherche de vérité que tu dois t'imposer pour te découvrir enfin... Ainsi tu pourras respirer la vie, profiter et peut être t'accepter...
L'ennui retombe tellement vite, par là même, l'impression de "bien être" qu'avait provoqué chez toi l'écriture, ta délivrance, ta presque vérité. Presque vérité car tu ne te sens pas encore honnête. Certes tu progresses, te dévoiles (peut-être trop?), mais la vérité est encore loin. Tu ne peux pas être heureux en étant faux et tu le sais. Certes tu te réjouis des quelques contentements que peux t'apporter la vie, mais ils ne sont rien en comparaison de l'aboutissement de ta recherche intérieure. Ce sera ta revanche face aux coups plus ou moins rudes de ta vie. Face à tes propres erreurs...
Tu dois te faire ta vie...
Avec elle tu t'étais trouvé, cette fameuse après midi...
...
chapo mon kent
on ets la pr toi, pr taider (jsute le noubli pa)
continu kom ca
moi jm ton sourire... et il me mank