Vendredi 5 octobre 2007 à 2:14



   
    Nous étions un magnifique jeudi du mois d'octobre, le 5 plus précisément. Les tensions se faisaient de plus en plus pressante à l'est, le mur vivait alors ses dernières heures. Mais pendant ce temps, non loin de là, un élément ô combien important était entrain de se produire. En effet après de longues heures de souffrance et une césarienne, naissait l'un des êtres les plus prolifico-intelligeno-drôlo-el magnifico-incroyable que la terre ai jamais portée. Or l'on sait depuis que toutes ces souffrances ont forgés le personnage, il en a d'ailleurs quelques séquelles. Ce qui n'enlève bien entendu rien à son incommensurable talent pour employer des mots commençant pas le préfixe "in".

    Depuis le bébé a grandit, un peu, il a murit, un peu, il s'est instruit, un peu, il a adopter la branleur attitude, beaucoup ! Il se retrouve d'ailleurs dans une prépa (à la fac certes) sans s'en être réellement rendu compte. Outre les 33 heures hebdomadaires, il doit compter avec de nouvelles matières qu'il n'avait pas envisagé. Comme le grec par exemple, qui se trouve être obligatoire (tiens donc...). Il n'a d'ailleurs pas manqué de raté les deux premières heures de cours ce jeudi en comprenant mal les indications qu'il avait reçu préalablement. Non Quentin a changé depuis ses 51 centimètres et autre 3,8 kilos. Oui le Kent était et reste un beau bébé comme on dit dans le jargon.

    Mais revenons en au principal. Le mur est tombé et Quentin est né. Et ça, même Alain Delon ne peut lui retirer !


KAWAIIIIIIIIIIIIIIIIIIII
   
    Une dernière chose, même si cela peut paraître dérisoire et déplacé, venant d'une personne ayant un ego surdimensionné. Qui a dit que je parlais de moi? Je ne me suis pas construit tout seul, loin de là. Seul je n'aurai été qu'une sous merde, pour rester dans un langage soutenu. Je dis donc merci à tous ceux qui comptent pour moi, et dieu qu'ils sont nombreux ces cons. Qu'ils m'aient envoyé un texto ou pas. M'enfin, tout de même !

    Revenons aux racines que diable. Et à cette superbe photographie !
Moi à dix huit ans, c'est ça :




Ps : Faut prendre cet article au 18e degré hein (sauf le truc en gras^^) !

Lundi 17 septembre 2007 à 17:03

    J'ai vécu ce que je vis tout le temps; ce type d'évènements qui se précipitent sans que l'on sache vraiment comment ils arrivent, ni comment ils repartent. Ils font des vas et vient, ceux là même, que nous subissons inlassablement sans en être acteur. Juste spectateurs. Ce sont de simples évènements que l'on attend avec tellement de fébrilité que nos mains  en tremble et que l'on en arrive pas à contenir la moindre goutte. Tout nous fuit et bientôt nous nous retrouvons avec le souvenir de cette soirée ou la décision est tombée, ou tous projets s'en est allés.

    J'ai désormais des aspirations à revoir, d'autres à changer radicalement. Il me faut avancer, mais que c'est dur lorsque l'on en a aucune envie. Je ne le sais que trop bien depuis si longtemps. Toutes ces interrogations c'était vendredi soir, lors des résultats. C'était triste, très sincèrement. En revanche, je me dois de rebondir, de ne pas baisser les bras. J'enchaîne les échecs, je ne le ferai plus.

PUTAIN C'EST DE LA MERDE,
JE FAIS DE LA MERDE  !!!!!!!!












(l'homme au chapeau est arrivé en haut de notre petite butte : "Je vous aime tous, sincèrement!" Avant de s'écrouler comme une merde et de sombrer pendant 2 heures. Puis au réveil, il escalada la barrière, se balança aux branches pendant quelques minutes avant disparaitre !)



    BIEN SUR QUE OUI J'ETAIS À LA FÊTE DE L'HUMA SAMEDI ! Comme si j'allais aller à la techno parade. J'ai tout vu (Luke, Ayo, Zebda, Razorlight) sauf Iggy Pop and the Stooges, puisque nous sommes partis pendant le concert de Razorligth. (En photo)

Jeudi 30 août 2007 à 2:54

   
    En effet, mes bons amis, il faut savoir que depuis 2 jours (c'est-à-dire Mardi et Mercredi) je passais le concours de Science Po Paris à la maison des examens d'Arcueil. Cet institut politique étant le plus renommé, je m'étais permis de mieux préparer mon examen. Notamment par rapport à celui de Bordeaux où je n'avais strictement rien fait et Lyon qui m'était sorti de la tête en même temps que les 100 euros était encaissé pour une chaise vide. Bref, j'avais peu bossé. Mais suffisamment pour avoir lu  la presse depuis deux mois, ainsi que de l'anglais (HP 7) mais aussi Newsweek pour enfin terminer par une révision aussi brève que partielle de l'histoire.

    Je me couche donc lundi soir dans les environs de 23 h histoire de ne point être trop à la masse lorsque je me lèverai (en théorie) 7 heures. Et ô surprise, ô joie de vivre ! Non content de ne m'être endormi que sur les coup de minuits, je me retrouve quelques trop courtes heures plus tard, 3 exactement je me réveille avec une joyeuse envie de vomir et non moins agréable mal de ventre. Serait-ce mon ulcère, mon doux ulcère qui reviendrait pointer le bout de son trou (pas de jeux de mots déplacés s'il vous plait, je ne suis vraiment pas d'humeur). Mais oui c'est bien lui les enfants, et il est revenu juste pour me faire chier ! Parce qu'il aime ça. Le salaud.

    Me voilà donc à passer les trois heures suivantes, que j'aurai du faire dans mon lit, avec l'estomac à l'envers, à faire l'aller retour entre mon lit et la salle de bain non pas à vomir mais juste à se tenir le ventre et à maudire le jour où l'ulcère est venu au jour, ou il a décidé de s'installer, pour me faire chier ! J'ai d'ailleurs eu beau prendre mes différents médicaments pour calmer ces crises, rien à faire, inlassablement l'estomac qui se tort sur lui même et la douleur qui va de paire, m'empêchant toute rechute dans un sommeil tellement souhaité mais jamais atteint. C'est donc sans trop de difficulté que je me "lève" sur le coup des 6 heures pour... ne rien avaler et partir  trois quart d'heure plus tard vers ma destiné...




   En réalité, plus que la destiné, pendant tout l'aller (et outre l'ulcère) c'est surtout la recherche de toilette qui m'ont préoccupé, j'avais en effet une énorme envie d'uriner et tout ces putains de wc à la con étaient fermé, encore une fois pour me faire chier, les saulauds ! C'était comme si une coalition s'était fondée contre moi. Finalement obligé de se soulager, mais qu'à moitié, dans un endroit pas très glamour, (m'enfin les chiottes ne sont pas glamour non plus). Je finis tout de même par arriver à cette fameuse station Laplace, à m'extraire et à rejoindre notre petite bande de science poïste. On finit par trouver nos salles, chacun séparer bien entendu de même que, mais on est plus à ça près, je retrouvais dans la partie la plus éloigné à l'étage le plus haut. Ca fait un peu conte de fée je trouve: " dans le plus haut donjons de la plus hautes tours". Comme dirait une tiers personne, t'inquiètes jsuis Schrek !

    Y a-t-il de bons préjugés ? Pragmatiquement parlant? Non. Mais pour savoir l'argumentaire ô combien magnifique qui corrobore mes dires, il faudra tout simplement lire ma copie. Quatre heures, je n'ai pas à me plaindre pour... le temps, le reste advienne que pourra ! C'est ensuite le moment de la pose déjeuner, avec la formule deux Quentin pour le prix d'un. L'un étant tout de même bien plus intéressant et bien moins désobligeant. Nan mais je te jure. Conseil : n'achetez jamais de Sandwich Monoprix, c'est immonde, dégueulasse, caca, tout ce que vous voulez, mais n'en achetez pas ! Puis retour au centre d'examen, ma réserve de médicament pour calmer la douleur est déjà bien entamé, il me reste encore 4 heures à tirés sur un dossier de merde, ayant pour sujet les différents systèmes de santé dans les pays de l'OCDE (l'Organisme de Coopération et de Développement Economique, héhéhé) je m'en sors comme je peux.

    On rentre, je rate ma navette de quelques minutes, me voilà donc forcé d'attendre 40 minutes près de la voiture de ma mère. Un peu à la manière d'un clochard, ne restant plus qu'à ajouter l'étui de guitare et les pièces qui vont à l'intérieur. M'enfin, une journée s'achève, les maux de ventres s'amenuisant eux aussi avec le temps et les soins. Je passe même une nuit d'une douceur absolument sensationnelle qui s'inscrit en opposition totale avec celle précédente et c'est repartis pour le deuxième jour, qui me verra triompher de l'histoire (Les relations entre Américains et Européens depuis 1945 à nos jours) et l'anglais qui, contrairement à Bordeaux, se révélait abordable. Pas pour tout le monde certes, mais tout de même j'espère vraiment avoir au dessus de 7 (en dessous c'est éliminatoire). C'est amusant, pendant la plupart des épreuves j'ai pensé à tout et à n'importe quoi, l'histoire m'a notamment permis d'écrire sur moi, mes sentiments, mes pensées, mes aspirations. Cela faisait longtemps.

    Je vous l'ai fait courte, car je sais que cela est chiant de devoir se taper tout un résumé épreuve par épreuve, heure par heure en essayant de laisser le plus savoureux. La deuxième journée, je me sentais juste "bien" et je crois que c'est le plus important. Qu'importe science po, qu'importe la difficulté, j'ai décidé de me ressaisir. De regarder en avant plutôt que de me renfrogner sur mes craintes. Cela ne sert à rien, autant se lancer, autant positiver. La chute n'en sera pas plus rude puisque l'on sait en s'inscrivant que nous avons peu de chance. J'ai juste envie, une fois dans ma vie, de croire à quelque chose, à plusieurs même...

Imagine, John Lennon

Dimanche 19 août 2007 à 19:52

   Et si, dans 6 jours plus précisément, c'est à dire samedi. Nous avons quitté hier matin notre appartement dans St Maxime et pendant qu'eux reprennaient la route pour rentrer sur Paris et sa grisaille, moi je rejoingnais mes parents, quelques kilomètres plus loin, dans leur résidence. L'avantage c'est qu'il y a une piscine, mais à l'eau de mer donc elle pique les yeux, que je n'aurai  quasiment plus rien à payer de ma poche et que la terrasse est plus que procpice à l'écriture. Le gros désavantage c'est qu'ils ne sont plus là, que je ne sortirais surement plus etc... Nous verrons.

   Il s'est donc passé pas mal de choses pendant ces deux semaines, je n'ai pas envie d'étaler mes joies et contrariété ici, ce n'est pas un blog de vacances et puis tout est souvent dans les titres. Rien ne sert de chercher plus loin. Ne t'inquiètes pas Tote, je vais t'écrire cette semaine, comme j'écrirais à celle qui est partit faire vélo. J'ai du pain sur la planche et de quoi me faire oublier cette longue après midi à ne rien foutre devant la télé. En étant juste beauf.  C'était bien. Mais pas que ça rassurez vous. Je n'ai pas de photo à mettre. Je n'en aurai pas beaucoup non plus. Des vidéos existent, des dossiers comme on les appelle, ils resteront simplement pour les soirées entre potes et plus si affinités.

Zoub à vous (oui, je dis zoub, comme je dis tcho) et merci à celle qui a pensé à poster et de quelles façons. Puisses-t-elle servir d'exemple...

Samedi 11 août 2007 à 19:55

C'est assez bizarre (à la fois d'écrire sur un clavier PC, que je déteste) mais aussi de se reconnecter avec tout ce petit monde de cow mais aussi de la vie dite "réel" (d'ailleurs il faut que je lise le newsweek sur second life). Boarf comme dirai-je, on se couche tard, se lève tard. Mange tard. On claque la majeur partie de notre budget dans l'eau de vie et autre perversion  de l'esprit. À tort où à raison,  c'est selon l'humeur. Je passe donc assez brièvement ici pour converser avec vous. Rapidement tout de même car le temps c'est de l'argent, surtout dans les cyber café de la côté qui sont bien bien chère. Il me reste d'ailleurs 1/4heur pour boucler cet article. je devrais pouvoir le faire. Du moins espérons le ppur mon porte monnaie. Faisons donc vite, faisons bien.

Je bronze, j'écoute de la musique, je rencontre du monde, je sors, je me baigne, j'essaie de ne pas trop dépenser, je m'embrouille mais pas trop, je dors et je lis beaucoup de quotidiens (Libération, L'équipe et le canard Enchainé). Nous nous passionnons pour secret story, nous n'aimons pas Erwan (sauf julien) et tout ce que je consière comme mes ami me manquent. L'avantage c'est que j'aurai des choses à raconter en rentrant. Aussi bien en vrai que sur cette toile.

En ce qui concerne l'inpiration, qui ne vous préocuppe peut être pas vous mais moi énormément. Elle revient, elle recommence à montrer le bout de son nez. Des dissertations commencées, mais à retravailler énormément derrière. Nous verrons. Le concours de Paris approche (je n'ai pas eu Bordeaux) je me remet donc gentiment au travail. Allez courage à ceux qui sont resté sur place, pour avoir vécu l'année dernière un mois d'aout bien solitaire, je vous comprend, pour les autres enjoyés les vacances.

Ps : J'y réfléchissais, je crois que je vais créer une catégorie Sarkozy. Pour le fun ou autre. Quitte à ceux qu'il soit partout, autant qu'il le soit aussi ici. Une obsession? Non non ^^

<< Page précédente | 2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7 | Page suivante >>

Créer un podcast