Dimanche 16 mars 2008 à 14:57

   

    I'm no longer alone, et c'est good, comme dirait l'autre pseudo aristocrate qui jouait aux tennis à chavenay il y a de cela quelques mois après un superbe coup droit ! Pris d'un véritable fou rire à l'écoute de cette expression ô combien déconcertante, il fut décidé qu'elle ferait désormais parti intégrante de notre vocabulaire, le mien et celui de mes comparses ce jour là. So when i say (I can't stop thinking about it) c'est good, it means that ça l'est !

ET VIVE LE FRANGLAIS


Et puis allez voir Soyez Sympa Rembobinez, Il troue le cul !

Lundi 18 février 2008 à 21:52

   

    Je vais faire une petite pause, depuis le temps que j'écris ici, j'ai bien le droit à mes RTT (si seulement je pouvais les convertir en Pouvoir d'Achat). Un retour est plus que probable, mais j'attends pour cela d'être plus amusant que je ne le suis depuis un certain temps sur ce blog. L'écriture ne me quitte pas en dehors de ce monde virtuel et heureusement. Puisque j'ai une vie parallèlement à cet amas de mots. Je ne ressens pas d'envie, elle reviendra plus tard sans doute aucun.

    Je vous embrasse donc et vous souhaite la bonne semaine.

ps : Si vous désirez de la lecture, il y a nombre d'article fun dans les toutes premières pages (chronologiques) de ce journal.

    Peut être à cause de la défaite du psg tout ça. ON AURAIT PAS DU PERDRE BORDEL ! M'enfin, la vie est ainsi faite et il ne faut pas renier le côté beauf qui vit en moi, parce qu'il est fun ! ^^



See you space cowboy,
someday, somewhere !

Jeudi 14 février 2008 à 1:13


[Je suis l'ami du petit déjeuner]

    Chaque matin, lorsque je me réveille, j'essaie de grappiller le maximum de secondes possibles, tout en sachant pertinemment que celles ci ne me reposeront en aucun cas. Pis, elles me replongent dans un coma profond et incontrôlé, qui maintes et maintes fois fut la cause de mes retards en cours. Il s'agit donc d'une mauvaise idée, que je ne peux m'empêcher d'appliquer de temps à autre. Et oui je suis comme ça, stupide. Bref, je me lève, je ne dirais pas avec difficulté, puisque sans être du matin j'arrive tout de même à tenir mes impératifs et assumés mes soirées tardives. Je vous donne une recommandation si d'aventure ils vous arrivent de me croiser le matin lorsque je descend les escaliers vers la douche. Ne surtout pas me parler, j'ai hérité de l'ADN de mon père et de son chromosome "papa ours" qui consiste à émettre un grognement sourd en guise de réponse à toutes les questions, naturellement stupides, qui pourraient m'être posées !



    S'il y a bien une chose en effet que je ne supporte pas le matin, c'est que l'on m'adresse la parole, ne serait-ce que pour me demander si la nuit bonne. Elle n'est jamais assez bonne d'une, et de deux, qu'est-ce que ça peut vous faire, les cernes ne vous contamineront pas bandes de sagouins ! De ce fait, une fois avoir pris une douche CHAUDE pendant environ 5 minutes et avoir hésité en sortir pendant au moins 10 bonnes autres, je m'apprête à déjeuner SEUL ! J'insiste bien sur ce fait qui est décisif. Les trois gâteaux princes, les deux tartines et l'unique bol de ricoré sont sacrés ! Il n'y a que la radio (Europe 1) qui ne soit pas considérée comme profane et donc en mesure d'être écoutée. La mère fait donc régulièrement les frais de cette mauvaise humeur qui n'a que de mauvaise que le nom.

Ne pas venir me parler sous peine de :

    Je m'explique, j'aime à être insociable, j'aime à ne pas discuter lorsque je me réveille, je suis sur mon nuage (certes noir parfois) mais j'y suis bien de diou. Et un rapport, quel qu'il soit, avec la terre ferme me rend des plus mal à l'aise. Ne parler à personne lors de son réveil voilà le vrai plaisir du matin, errer seul en ayant pour seul but que ne pas arriver en retard. En effet, il faut ensuite passer par la case salle de bain avec brosse à dent et autres déodorants, pour la simple et bonne raison que je suis quelqu'un de propre, qui me font émerger encore un peu plus. Si j'ai le temps, et si je ne l'ai pas aussi, je me reglisse sous la couette pour quelque trois ou quatre minutes de pure bonheur en écoutant Oui FM, les yeux rivés sur l'horloge analogique en face de mon lit, sur le bureau en bois, pour n'arracher qu'au dernier moment ma couverture et me résigner à m'habiller.

    Ensuite c'est au choix, et celui-ci dépend de l'horaire de mes premiers cours. S'ils sont relativement tôt alors je ne cours que très rarement et faisant ainsi rater à ma mère son train de 7h39 à la gare St Nom, puisque c'est elle qui m'emmène en voiture. Mais lorsqu'il s'agit d'horaire plus tardif, alors je me vois obligé de courir pour attraper le bus qui s'arrête à quelques hectomètres de chez moi. Quoi qu'il en soit, je reste dans mon monde jusqu'à l'arrivée au batiment L de ma Fac. En d'autre termes ; casque sur les oreilles et écoutage de musique tout en scrutant les gens qui frétillent autour de moi, ou alors lisage de livre (toujours en musique) et dieu sait que j'en ai pléthore à étudier.

    Mais si vous ne deviez ne retenir qu'un de mes leitmotivs, c'est celui-ci ; Ne surtout pas parler autrement que par grognements ! Ceux-là évitent les cancers de la gorge et préservent les vies de chatons innocents !



    Toutes les photos ou gif ont été pris sur le site de Nanarland (dont je suis un grand fan) merci, je les cite donc parce qu'ils font un excellent travail et que ces images ou gif (tirés de nanar bien évidemment et quelque peu personnalisés) sont à se tordre de rire !!!!

Dimanche 20 janvier 2008 à 20:47



    Titre accrocheur bidon, mais vrai article (quoi que). Voilà un week-end d'écoulé, jusque-là rien de bien extraordinaire ni déprimant. La nécessité de se suicider arrive lorsque, après moult exhortations au travail, le constat tombe. Deux jours à ne rien foutre, la veille de partiel ô combien importantes.

    En temps normal, les semaines banalisées précèdent ces examens. La filière humanités est une exception qui peut pousser de trop nombreuses personnes à l'irréparable. En plus du contrôle continu, viennent se greffer des partiels (comme pour les cursus plus "traditionnels") ce qui aboutit au genre d'aberration que j'ai pu vivre récemment. À savoir des dossiers et autres dm qui s'entrechoquent avec des examens, pourtant dans la même matière et ce à quelques jours d'intervalles.
    J'ai finis ces deux semaines complètement lessivé, écœuré presque par la masse de travail à rendre et jusqu'à qu'elles extrémités je pouvais être réduit. Finissant notamment un devoir à 7h05 du matin, ancien record battu (d'avant les vacances) de plus d' 1h20 ! Tout en n'excluant pas d'autre soir de la semaine, un peu moins tardif (5h/4h30 ect). Au-delà de l'aspect, juste hallucinant, de ces tranches de sommeils, se cache aussi le terrible constat que vient de rendre, dans la même mesure, ce week-end. À savoir une incapacité totale au travail anticipé. Je ne pourrais pas tenir indéfiniment ce rythme, même si cela n'arrive que lors de certaines périodes.

     Je vous laisse, j'ai du Grec à essayer d'apprendre et ce n'est pas chose aisé! De plus, ce n'est pas dit que j'y arrive, me connaissant que trop bien. Une dernière chose, il se peut que j'insère un peu plus souvent de la musique, non pas pour mon pur plaisir, mais bien pour tenter de vous faire connaître quelques groupes gagnants a être connus. Cet article a été rédigé avec l'aide de Tv On The Radio-Starring at the sun, Nathalie Imbruglia-Shiver et Torn. Bonne nuit à tous !



Mercredi 16 janvier 2008 à 1:08

[Mode pavé on]

    Il est extrêmement difficile de mettre en place un article drôle, amusant, inventif, lorsque l'on est énervé après une dure journée de labeur, remplie par l'incommensurable connerie humaine. Laquelle sera bientôt éradiquée par mes bons soins, devant l'urgence de la situation et l'individualisme chronique de mes chers compatriotes !

    En effet, cette belle et douce journée se prédisposait à être des plus agréables. Un volet qui me claquât à la gueule dès le réveil lors de ma tentative d'ouverture et autre ciel d'un gris sublime. Un levé tardif certes, mais quoi de plus normal lorsque l'on ne commence qu'à 13h00 le mardi. Le trajet quant à lui se trouva être des plus tranquilles si l'on exclut le genou encore délicat (hérité du match de dimanche), et me permit d'arriver en un seul morceau à la fac où j'attendis gaiement dans le bâtiment attitré aux pauvres étudiants d'humanités que nous sommes ! Tout en faisant découvrir à une de mes camarades la joie d'écouter Cat Power (Non ce n'est pas la technique de drague numéro 47, même si celle ci marche plutôt bien).

    Le cours de philosophie des sciences se passa d'ailleurs relativement bien, étant donné ma compréhension d'au moins un quart des informations, ce qui fût en soi un prodige. Les deux heures se terminèrent, la petite aiguille de l'horloge se posant bientôt sur le chiffre trois. Je m'installais donc nonchalamment dans le mini amphi de philo antique, lorsque soudain, une idée me vint ! Fred, ne finissait-il pas lui aussi à 15h? Pourquoi ne pas lâchement abandonner le peu de mes camarades encore présents pour aller barboter dans la douce joie du bonheur retrouvé ?! (ça ne veut rien dire, c'est normal !) Après une concertation mutuelle faite tout seul, la décision était prise de quitter l'Amphi pour de vertes contrées. Malheureusement au moment où celle que, je enfin voilà, arrivait après deux heures de retards : Deuxième mauvais présages !

    Bien que continuant à râler du fait de la fausse occasion perdue, nous prîmes (c'est beau le passé simple) tout de même le train vers St Germain pour n'y arriver que vingt minutes plus tard. Jusque-là rien de totalement anormal, si l'on excepta la difficulté à trouver l'arrêt de bus pourtant situé sous notre nez. Mais que voulez vous, le chef d'expédition n'était pas des plus débrouillards. Et ce ne fut qu'après l'avoir longuement harangué quant à son erreur d'appréciation que nous pûmes (décidément magnifique ce temps) enfin atteindre l'animal qui nous déposerait dans une ville voisine de la notre, distante seulement de quelques kilomètres. Il est vrai que pendant notre petit parcours, les critiques furent multiples sur des petits collégiens quant à leurs tailles, attitudes et autres scoubidous attachés à la fermeture éclaire des sacs. Mais, en aucun cas, nous méritions la punition qui nous fut incombée !

    En effet, alors que nous cherchions désespérément un arrêt de bus imaginaire nous permettant de prendre un bus tout aussi imaginaire vers Chavenay, il nous fallut nous rendre à l'évidence : Le couple "marche à pied/stop" nous tendait les jambes. Au grand dam de mon genou écorché, de mes converses mouillées et autres faits marquants qui font que se taper trois ou quatre bornes sous la pluie, avec des rafales de vent qui devaient pas être loin d'atteindre les 100 Km/h (sans rire), et bah c'est chiant ! Surtout… Surtout lorsque les putains de voitures nous voyant galérer, avec la moitié de nos affaires s'envolant, nous avec, le visage déformé par le froid, démoralisé par le long périple qu'il reste encore à parcourir, ne daignèrent même pas s'arrêter.

    Bonne poire, je m'étais dit qu'avec ce temps, le froid dehors et le vent extrêmement fort, ces petites gens allaient s'arrêter. J'avais cru à tort qu'ils connaîtraient la pitié et que Sarkozy n'avait pas fait 72% aux présidentielles. Grave erreur que celle ci. Parce qu'une à une, elles passèrent devant nous, toujours accompagnées de ce clignotant gauche indiquant le dépassement. Comme si l'on était contaminé, comme si l'on n'avait point froid et que bordel de merde il ne fallait en aucun cas penser à ceux qui se trouvaient en dehors de cette putain de caisse, avec de l'eau dans les pompes, 100 Km/h de vent dans la tronche et la pluie qui allanr avec. Bordel ! je ne demandais pourtant pas grand-chose ; un coeur de diou ! 30 minutes à supporter cette merde, ça en devint relou, à tel point que l'envie me prit à moult reprise de casser le rétro d'un de ces gros 4X4 garées un peu plus loin dans le village et passés devant nous sans émoi aucun.
   
    Le point d'orgue de cette douce balade fut quand, ulcéré par l'idée d'être vue par le bus du lycée entrain de crapahuter sur le bord de la route en plein déluge, nous nous mîtes à courir pour éviter la honte de se faire reconnaître par nos anciens camarades de secondaire. Tout cela en vain, puisque d'une il réussit à nous rattraper et de deux, ce n'était point le bus du bahut. À noter que je fus étonné de courir aussi vite par ce temps (même si mon genou s'en souvient plus que jamais à l'instant présent), en effet j'arrivais à avancer d'un mètre tout en reculant de trois, plutôt impressionnant et intéressant. Une expérience à rééditer et qui le sera sûrement vu la gentillesse, la générosité, l'intelligence et le coeur de mes compatriotes.

    Sachez que je vous emmerde tous profondément (pardonne-moi mamie), et que je ne sècherai plus jamais ce cours exquis qu'est la philosophie antique... Aussi sûr que je hais tous les fumiers qui sont passés devant nous sans s'arrêter !

[Off]

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