Titre accrocheur bidon, mais vrai article (quoi que). Voilà un week-end d'écoulé, jusque-là rien de bien extraordinaire ni déprimant. La nécessité de se suicider arrive lorsque, après moult exhortations au travail, le constat tombe. Deux jours à ne rien foutre, la veille de partiel ô combien importantes.
En temps normal, les semaines banalisées précèdent ces examens. La filière humanités est une exception qui peut pousser de trop nombreuses personnes à l'irréparable. En plus du contrôle continu, viennent se greffer des partiels (comme pour les cursus plus "traditionnels") ce qui aboutit au genre d'aberration que j'ai pu vivre récemment. À savoir des dossiers et autres dm qui s'entrechoquent avec des examens, pourtant dans la même matière et ce à quelques jours d'intervalles.
J'ai finis ces deux semaines complètement lessivé, écœuré presque par la masse de travail à rendre et jusqu'à qu'elles extrémités je pouvais être réduit. Finissant notamment un devoir à 7h05 du matin, ancien record battu (d'avant les vacances) de plus d' 1h20 ! Tout en n'excluant pas d'autre soir de la semaine, un peu moins tardif (5h/4h30 ect). Au-delà de l'aspect, juste hallucinant, de ces tranches de sommeils, se cache aussi le terrible constat que vient de rendre, dans la même mesure, ce week-end. À savoir une incapacité totale au travail anticipé. Je ne pourrais pas tenir indéfiniment ce rythme, même si cela n'arrive que lors de certaines périodes.
Je vous laisse, j'ai du Grec à essayer d'apprendre et ce n'est pas chose aisé! De plus, ce n'est pas dit que j'y arrive, me connaissant que trop bien. Une dernière chose, il se peut que j'insère un peu plus souvent de la musique, non pas pour mon pur plaisir, mais bien pour tenter de vous faire connaître quelques groupes gagnants a être connus. Cet article a été rédigé avec l'aide de Tv On The Radio-Starring at the sun, Nathalie Imbruglia-Shiver et Torn. Bonne nuit à tous !
tSss la jeunesse vraiment, ça me dépasse :p