Je suis en mode daft punk, discovery. Encore et toujours, oui je sais. Simplement, ce disque, je ne sais pas ce qu'il a mais je le kiff à mort. Il provoque chez moi, une concentration, une attention mais aussi un certain relâchement, une défrustration, de la joie, du plaisir, de l'envie, de la motivation, une bouchée d'air frais et de l'espoir. Un certain nombre de ces qualificatifs sont quelques peu contradictoires, mais je crois que nous le sommes tous.
Lundi, mon dieu, quel lundi éprouvant. J'avais du me coucher la veille sur les coups de 1h30, pour essayer tant bien que mal d'apprendre ce qui pouvait être appris en philosophie. C'est à dire des citations et quelques petits raisonnement bien sentis. Bien m'en pris car le lendemain matin, bien que galvanisé par la perspective de passer sa première véritable épreuve de bac, je n'en restais pas moins complètement destroy. Se lever à 6h après 4h30 de sommeil c'est carrément pas cool, mais bon, on fait avec et surtout on ne s'en prends qu'à soi, puisque c'est uniquement de ma faute. (Réviser c'est maaaaal) Il y avait donc cette foutue appréhension doublée d'une non moins foutue tête dans le cul. Et là je fais l'erreur ! The big mistake (demain bac d'anglais oblige faut que je m'excerce) ! I learn my lesson into the bus. And when you read your fucking lesson into a fucking bus, you become sick... That's why, when i arrived in my college, i didn't felt very well. En plus de cela, venait s'ajouter l'appréhension : MON DIEU JE SUIS UNE MERDE, JE VAIS ME FOIRER LAMENTABLEMENT!
Une fois ce cri du coeur passé, il ne me restait plus qu'à m'asseoir sur le siège m'étant réservé dans cette sublime salle qu'est la B106. Derrière est inscrit Louis Vianney **** et là arrive un ado type 16e, mèche courte sur le côté (bon moi aussi, quoi que plus en mode Molière) des pompes Armani, la veste et la chemise. Et là je ne sais pas ce qui me prend, l'intuition féminine sans doute, mais je me dis : TOI TU T'APPELLES LOUIS VIANNEY ! Et bien vous me croirez sans doute, mais il s'appelait bien Louis Vianney, et après quelque recherche nous nous aperçûmes (car entre prolo on s'entraide) que celui-ci avait jadis fréquenté la même école primaire que nous, avant bien sur de s'en aller vers les biens faits de l'école privé. En plus il a l'air relativement sympa, c'est juste qu'en ce moment, je fais une fixation sur le style versaillais, je sais pas pourquoi. BREF! Arrive le sujet et là, c'est une envie de vomir qui redouble. Sincèrement je me suis sentie super mal, je suis assez stressé, nerveux tout ce que vous voulez (au point d'avoir eu un ulcère, mais non c'est pas de ta faute ^^) et il a fallu toute ma détermination pour venir à bout de se mal qui me rongea pendant les deux heures qui suivirent. Un enfer. Enfin presque.
Nan mais sinon elle lit pas aussi... (Et me dis pas que c'est flou bordel !)
J'ai donc pris le sujet que tout le monde à pris (superbe phrase, pas du tout redondante) et j'ai fais ce que j'ai pu dessus. J'espère que le fait que j'ai répondu exactement à la question : Que gagnons à travailler? Ne sera pas trop discriminant, car j'ai agis un peu listing plus qu'en réflexion philosophique et ça m'emmerde un peu. D'un autre côté le sujet ne demandait pas tellement autre chose. Mais oui lorsque j'ai lu le sujet, je n'ai pu m'empêcher de penser à notre cher homme vodka (allez sur le blog de jiraiya en lien et vous comprendrez). Une fois rentré, c'est un véritable coup de barre qui m'envahit et qui a envahi bien du monde en ce lundi de juin, au point même que j'ai fini par choper un putain de mal de crâne et de finir par me coucher pour passer une nuit relativement bizarre, mais c'est le lot de toute nuit avec de la fièvre. Ne parlons pas de mardi, il n'y a pas grand-chose à dire, si ce n'est que j'ai révisé de 15h à 00h30 presque non stop, les besoins vitaux étant comme indiqué vitaux... (Boire, manger, toilette, regarder la fin d' « O brother » et celle d'un documentaire sur le populisme, normal quoi).
Ah oui, je révisais l'histoire géo. Et cette fois ci, mon sadisme plus que mon intuition me dit que la géographie, bien que tombée deux fois en majeur depuis ces deux dernières années, allait sûrement recommencée faire des siennes pour une troisième années consécutives. Bien m'en pris alors de réviser mes chorèmes de géographie sur la Russie (mini croquis qu'on utilise comme argument dans une disserte) puisqu'un sujet fort semblable à notre dernier contrôle tomba en composition. Quel ne fut pas mon soulagement alors de me dire que ce mercredi (parce qu'on est mercredi hein, faut suivre) n'était pas un funeste jour. En effet, tout d'abord je pouvais me lever à 6h34 car ma cousine m'emmenait au lycée et maintenant il y avait ce sujet ô combien doux à l'oreille : La Russie, un territoire en recomposition. En ce qui concerne l'histoire (partie mineure) je pense que je l'ai pas trop mal réussis. J'espère en tout cas ne pas trop m'avancer en disant que j'ai au moins la moyenne !
Voilà voilà pour cette mise au point au sujet de ce début et milieux de semaine de bac, des épreuves assez poussives et souvent gênées par la limite de temps, mais qui je l'espère ne seront pas des catastrophes notoires. Ce qui risque d'être le cas des maths demain (7 de moyenne toute l'année je le rappel) et de l'anglais qui reste assez aléatoire (12 au bac blanc et 8 moyenne ce trimestre). Alala, la vie est dure mes amis, mais moins que pour un enfant au Darfour...
Lundi, mon dieu, quel lundi éprouvant. J'avais du me coucher la veille sur les coups de 1h30, pour essayer tant bien que mal d'apprendre ce qui pouvait être appris en philosophie. C'est à dire des citations et quelques petits raisonnement bien sentis. Bien m'en pris car le lendemain matin, bien que galvanisé par la perspective de passer sa première véritable épreuve de bac, je n'en restais pas moins complètement destroy. Se lever à 6h après 4h30 de sommeil c'est carrément pas cool, mais bon, on fait avec et surtout on ne s'en prends qu'à soi, puisque c'est uniquement de ma faute. (Réviser c'est maaaaal) Il y avait donc cette foutue appréhension doublée d'une non moins foutue tête dans le cul. Et là je fais l'erreur ! The big mistake (demain bac d'anglais oblige faut que je m'excerce) ! I learn my lesson into the bus. And when you read your fucking lesson into a fucking bus, you become sick... That's why, when i arrived in my college, i didn't felt very well. En plus de cela, venait s'ajouter l'appréhension : MON DIEU JE SUIS UNE MERDE, JE VAIS ME FOIRER LAMENTABLEMENT!
Une fois ce cri du coeur passé, il ne me restait plus qu'à m'asseoir sur le siège m'étant réservé dans cette sublime salle qu'est la B106. Derrière est inscrit Louis Vianney **** et là arrive un ado type 16e, mèche courte sur le côté (bon moi aussi, quoi que plus en mode Molière) des pompes Armani, la veste et la chemise. Et là je ne sais pas ce qui me prend, l'intuition féminine sans doute, mais je me dis : TOI TU T'APPELLES LOUIS VIANNEY ! Et bien vous me croirez sans doute, mais il s'appelait bien Louis Vianney, et après quelque recherche nous nous aperçûmes (car entre prolo on s'entraide) que celui-ci avait jadis fréquenté la même école primaire que nous, avant bien sur de s'en aller vers les biens faits de l'école privé. En plus il a l'air relativement sympa, c'est juste qu'en ce moment, je fais une fixation sur le style versaillais, je sais pas pourquoi. BREF! Arrive le sujet et là, c'est une envie de vomir qui redouble. Sincèrement je me suis sentie super mal, je suis assez stressé, nerveux tout ce que vous voulez (au point d'avoir eu un ulcère, mais non c'est pas de ta faute ^^) et il a fallu toute ma détermination pour venir à bout de se mal qui me rongea pendant les deux heures qui suivirent. Un enfer. Enfin presque.
Nan mais sinon elle lit pas aussi... (Et me dis pas que c'est flou bordel !)
J'ai donc pris le sujet que tout le monde à pris (superbe phrase, pas du tout redondante) et j'ai fais ce que j'ai pu dessus. J'espère que le fait que j'ai répondu exactement à la question : Que gagnons à travailler? Ne sera pas trop discriminant, car j'ai agis un peu listing plus qu'en réflexion philosophique et ça m'emmerde un peu. D'un autre côté le sujet ne demandait pas tellement autre chose. Mais oui lorsque j'ai lu le sujet, je n'ai pu m'empêcher de penser à notre cher homme vodka (allez sur le blog de jiraiya en lien et vous comprendrez). Une fois rentré, c'est un véritable coup de barre qui m'envahit et qui a envahi bien du monde en ce lundi de juin, au point même que j'ai fini par choper un putain de mal de crâne et de finir par me coucher pour passer une nuit relativement bizarre, mais c'est le lot de toute nuit avec de la fièvre. Ne parlons pas de mardi, il n'y a pas grand-chose à dire, si ce n'est que j'ai révisé de 15h à 00h30 presque non stop, les besoins vitaux étant comme indiqué vitaux... (Boire, manger, toilette, regarder la fin d' « O brother » et celle d'un documentaire sur le populisme, normal quoi).
Ah oui, je révisais l'histoire géo. Et cette fois ci, mon sadisme plus que mon intuition me dit que la géographie, bien que tombée deux fois en majeur depuis ces deux dernières années, allait sûrement recommencée faire des siennes pour une troisième années consécutives. Bien m'en pris alors de réviser mes chorèmes de géographie sur la Russie (mini croquis qu'on utilise comme argument dans une disserte) puisqu'un sujet fort semblable à notre dernier contrôle tomba en composition. Quel ne fut pas mon soulagement alors de me dire que ce mercredi (parce qu'on est mercredi hein, faut suivre) n'était pas un funeste jour. En effet, tout d'abord je pouvais me lever à 6h34 car ma cousine m'emmenait au lycée et maintenant il y avait ce sujet ô combien doux à l'oreille : La Russie, un territoire en recomposition. En ce qui concerne l'histoire (partie mineure) je pense que je l'ai pas trop mal réussis. J'espère en tout cas ne pas trop m'avancer en disant que j'ai au moins la moyenne !
Voilà voilà pour cette mise au point au sujet de ce début et milieux de semaine de bac, des épreuves assez poussives et souvent gênées par la limite de temps, mais qui je l'espère ne seront pas des catastrophes notoires. Ce qui risque d'être le cas des maths demain (7 de moyenne toute l'année je le rappel) et de l'anglais qui reste assez aléatoire (12 au bac blanc et 8 moyenne ce trimestre). Alala, la vie est dure mes amis, mais moins que pour un enfant au Darfour...
=)
Et CORRIGE TES FAUTES APRES!
:p
PS: t'es nul de te vexerrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr!
(K)(L)qd même