[Vous connaissez l'histoire du schtroumpf qui tombe et qui se fait un bleu?]
Demain, c'est à dire aujourd'hui, je vous dirais que mon orthodentiste et demie est une Sale Hupe ! Mais pas ce soir, parce que je suis fatigué et que j'ai déjà rédigé un article chez cam. Vous insistez? Vous insistez vraiment?
OUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII (ouhhh ça fait mal aux yeux !)
Bon je vous le livre alors, mais il se peut que subitement, je quitte mon repère geeko geek pour aller rejoindre les doux bras de Morphée, pour reprendre son expression. En effet, je suis fichtrement fatigué, d'ailleurs parait-il, je suis plus fun vanné. M'enfin, il ne s'agit pas là de m'avoir au téléphone, de me parler, mais bien de me lire. Alors tachons de faire un truc cohérent voulez vous. Et arrêtez de mettre de la mauvaise volonté, ça devient franchement chiant ! Ok? Je préfère cela, on peut reprendre maintenant? Reprenons alors :
Lundi fut une journée marathon, ou plutôt tour de francesque... Pour sur, j'avais tout d'abord rendez vous à Marly le roi pour me faire poser des élastiques dans sur les molaires (super intéressant hein?) à 9h du matin. Autant dire un suicide pour une personne qui comme moi, aime profiter du peu de vacance qu'il a. Plus que l'heure, c'était surtout le transport qui posait problème. Rappelons au passage que Chavenay n'a que 1800 habitants, dynamique certes (et j'en suis la preuve), malheureusement cela ne suffit pas pour assurer un trafic relativement régulier vers la gare la plus proche : St Nom la brêtèche. Il y a exactement 7 foutues bornes entre mon chez moi cette maudite gare. Autant vous dire que tout n'est pas en descente. Monté pour allé à St nom, faux plat montant dans la commune, puis regrosse monté à l'approche de la gare pour enfin finir par une putain de descente d'environ une centaine de mètre.
En plus de cela, je dois me taper ces bornes avec un vélo de ville, à l'ancienne (un peugeot) qui perd boulon par boulon. Paix à son ame mais surtout grosse prière pour la mienne, lorsque les vis de la roue avant se baladent dangereusement entre les écrous... Bref, n'étant pas trop de con de nature, je m'étais arrangé pour prendre une navette pour l'allé (à 8h49) afin d'éviter le gros de la monté. J'avais en contre partie embarqué mon vélo pour pouvoir faire le retour dans des délais qui ne soient pas trop court. Je prends donc le train vers 9h10, j'arrive un poil en retard dans le cabinet (bon ok 20min) et l'orthodentiste de remplacement, qui était avant ma titulaire, me prend en charge. Il faut rappeler que si celle-ci est passée de titulaire à remplaçante pour moi, c'est tout simplement parce que j'avais le choix entre resté avec une mamie décrépite qui arrêtait pas de me charcuter la bouche en me disant que c'était ma faute tout en ne s'excusant même pas ET une jolie rousse (blonde vénitienne) (oui j'ai un faible pour les rousses modérés) super gentille et compétente. Je peux vous dire que ça change.
Bref, lorsque l'on m'a proposé de changé pour elle, mon sang n'a fait qu'un tour et j'ai opté pour cette situation inespérée. La mamie ayant du prendre cette manoeuvre pour un affront, ce qui était le cas... J'appréhendais donc les retrouvailles avec cette marâtre de la fraiseuse, ce Pinochet de la bague, cet Antoine Sellière de l'attention. Celle ci devait simplement me poser, comme je l'ai dit plus haut, des élastiques dans le fond de la mâchoire pour préparer la pose des dernières plaques (Mon traitement se finit au plus tard en décembre, ouffffffff). Il se trouve que comme de par hasard, l'élastique se cassa pendant qu'elle l'installait et l'outil qui était entrain de le placer vint s'empaler contre mon palet justement. Aie. Mais je fis semblant de rester digne, car intérieurement j'avais d'une : une énorme envie de lui déverser un flou d'insulte. Et je ne voulais pas paraitre faible, ce que je suis bien entendu.
Ensuite vint la partie la plus difficile, la pose d'élastique, dans les dents du bas, celles ci étant trop serrées, on ne pouvait point les caser. C'est alors qu'elle eut cette idée de génie, de m'introduire des sortes d'épingles à nourrices miniatures qui bien entendu me faisaient foutrement mal. Le tout s'étant passé assez rapidement. Je remercie tout le monde et fais tout pour me barrer le plus vite possible. Le retour se fait sans anicroche, si ce n'est l'énorme monté qui se trouve à la sortie de la gare. Alors que je commençais à faiblir, Arcade Fire raisonna dans mes oreilles. Mon sang ne fit qu'un tour et mes jambes des dizaines pour finalement boucler bravement cette petite côte. Avant d'entamer une descente quasi continue.
La suite plus tard... Lorsque tout le monde aura lu ça, car je le confesse, c'est long ! Bref, si il y a une suite, c'est qu'elle vaut la peine... Sinon je ne traiterai pas l'orthodentiste d'apoint de Sale Hupe !
Lundi fut une journée marathon, ou plutôt tour de francesque... Pour sur, j'avais tout d'abord rendez vous à Marly le roi pour me faire poser des élastiques dans sur les molaires (super intéressant hein?) à 9h du matin. Autant dire un suicide pour une personne qui comme moi, aime profiter du peu de vacance qu'il a. Plus que l'heure, c'était surtout le transport qui posait problème. Rappelons au passage que Chavenay n'a que 1800 habitants, dynamique certes (et j'en suis la preuve), malheureusement cela ne suffit pas pour assurer un trafic relativement régulier vers la gare la plus proche : St Nom la brêtèche. Il y a exactement 7 foutues bornes entre mon chez moi cette maudite gare. Autant vous dire que tout n'est pas en descente. Monté pour allé à St nom, faux plat montant dans la commune, puis regrosse monté à l'approche de la gare pour enfin finir par une putain de descente d'environ une centaine de mètre.
En plus de cela, je dois me taper ces bornes avec un vélo de ville, à l'ancienne (un peugeot) qui perd boulon par boulon. Paix à son ame mais surtout grosse prière pour la mienne, lorsque les vis de la roue avant se baladent dangereusement entre les écrous... Bref, n'étant pas trop de con de nature, je m'étais arrangé pour prendre une navette pour l'allé (à 8h49) afin d'éviter le gros de la monté. J'avais en contre partie embarqué mon vélo pour pouvoir faire le retour dans des délais qui ne soient pas trop court. Je prends donc le train vers 9h10, j'arrive un poil en retard dans le cabinet (bon ok 20min) et l'orthodentiste de remplacement, qui était avant ma titulaire, me prend en charge. Il faut rappeler que si celle-ci est passée de titulaire à remplaçante pour moi, c'est tout simplement parce que j'avais le choix entre resté avec une mamie décrépite qui arrêtait pas de me charcuter la bouche en me disant que c'était ma faute tout en ne s'excusant même pas ET une jolie rousse (blonde vénitienne) (oui j'ai un faible pour les rousses modérés) super gentille et compétente. Je peux vous dire que ça change.
Bref, lorsque l'on m'a proposé de changé pour elle, mon sang n'a fait qu'un tour et j'ai opté pour cette situation inespérée. La mamie ayant du prendre cette manoeuvre pour un affront, ce qui était le cas... J'appréhendais donc les retrouvailles avec cette marâtre de la fraiseuse, ce Pinochet de la bague, cet Antoine Sellière de l'attention. Celle ci devait simplement me poser, comme je l'ai dit plus haut, des élastiques dans le fond de la mâchoire pour préparer la pose des dernières plaques (Mon traitement se finit au plus tard en décembre, ouffffffff). Il se trouve que comme de par hasard, l'élastique se cassa pendant qu'elle l'installait et l'outil qui était entrain de le placer vint s'empaler contre mon palet justement. Aie. Mais je fis semblant de rester digne, car intérieurement j'avais d'une : une énorme envie de lui déverser un flou d'insulte. Et je ne voulais pas paraitre faible, ce que je suis bien entendu.
Ensuite vint la partie la plus difficile, la pose d'élastique, dans les dents du bas, celles ci étant trop serrées, on ne pouvait point les caser. C'est alors qu'elle eut cette idée de génie, de m'introduire des sortes d'épingles à nourrices miniatures qui bien entendu me faisaient foutrement mal. Le tout s'étant passé assez rapidement. Je remercie tout le monde et fais tout pour me barrer le plus vite possible. Le retour se fait sans anicroche, si ce n'est l'énorme monté qui se trouve à la sortie de la gare. Alors que je commençais à faiblir, Arcade Fire raisonna dans mes oreilles. Mon sang ne fit qu'un tour et mes jambes des dizaines pour finalement boucler bravement cette petite côte. Avant d'entamer une descente quasi continue.
La suite plus tard... Lorsque tout le monde aura lu ça, car je le confesse, c'est long ! Bref, si il y a une suite, c'est qu'elle vaut la peine... Sinon je ne traiterai pas l'orthodentiste d'apoint de Sale Hupe !
Bien à vous, un Kent qui vous aime !
(c'est la fatigue jvous dis...)
tu pense a moi là?!?!!! lol