Je ne kOnpren pa se ki pOst D artikl kOm sa, D le mat1 kwa ! XPTDR
D'où ce sourire !
Ps: Les émoticones de cow, sont ultra skybloguest ! Et tout ceci sera modififé (parce qu'il faut un article intelligent par page, sinon tout le monde décroche et c'est bien normal), une fois que j'aurai le temps de me poser réellement. C'est à dire : Pas depuis le début de la semaine et pas aujourd'hui !
Joyeuse Pâques mes amis
Et voilà l'article intelligent tentant, malicieux qu'il est, de ce glisser parmi cet amas de bêtises qui jonchent le sol toujours plus impropre d'un projet qui n'est plus que l'ombre de lui même. Il essaie encore et toujours de jaillir de la tête de son auteur, telle Athéna de Zeus, mais le tout est solide, trop rodé pour qu'enfin l'intérêt du lecteur apparaisse. La lutte est acharnée, chacun tentant de prendre le pas sur l'autre. La bêtise d'un côté et la facilité poussant toujours plus loin l'auteur dans un excès de fainéantise. La réflexion de l'autre, pour qui la quiétude et le temps est indispensable, la mélancolie parfois. Écrire lorsque l'on n'en ressent pas le besoin est pour nombre de personne écrire lorsque l'on est heureux. Du moins paisible. L'équilibre est plus que difficile à atteindre, puisqu'il est par nature hors de portée de la seule capacité humaine. Ne pas allez non plus jusqu'à dire qu'il faille profiter de la bêtise, en aucun cas. La facilité n'est point une bonne méthode, seulement plus attractive que la tristesse. Il semblerait que la réflexion ai vaincu cette fois ci, du moins sa tentative. Nombrilisme extrême, les bons mots que voilà !
Samedi 19h17 :
Et voilà l'article intelligent tentant, malicieux qu'il est, de ce glisser parmi cet amas de bêtises qui jonchent le sol toujours plus impropre d'un projet qui n'est plus que l'ombre de lui même. Il essaie encore et toujours de jaillir de la tête de son auteur, telle Athéna de Zeus, mais le tout est solide, trop rodé pour qu'enfin l'intérêt du lecteur apparaisse. La lutte est acharnée, chacun tentant de prendre le pas sur l'autre. La bêtise d'un côté et la facilité poussant toujours plus loin l'auteur dans un excès de fainéantise. La réflexion de l'autre, pour qui la quiétude et le temps est indispensable, la mélancolie parfois. Écrire lorsque l'on n'en ressent pas le besoin est pour nombre de personne écrire lorsque l'on est heureux. Du moins paisible. L'équilibre est plus que difficile à atteindre, puisqu'il est par nature hors de portée de la seule capacité humaine. Ne pas allez non plus jusqu'à dire qu'il faille profiter de la bêtise, en aucun cas. La facilité n'est point une bonne méthode, seulement plus attractive que la tristesse. Il semblerait que la réflexion ai vaincu cette fois ci, du moins sa tentative. Nombrilisme extrême, les bons mots que voilà !
ET puis on remet quand la cyber sodomie ?