You don't stop ahhh, you can't stop ahhh. Celui qui me trouve le titre de la chanson aura toute mon estime. Indice, c'est une chanson faisant partie d'un album m'inspirant tout particulièrement. En fait tout ce petit jeu à la con et populiste était juste pour vous signaler que j'écoutais ce disque. J'ai eu ma note de bac en Badminton : 19,3. Relativement incompréhensible car j'avais bien raté mon match d'examen même si ensuite j'avais gagné ceux non notés. En tout cela me fait 18,6 sur l'année, avec 16,5 en volley, 20 en piscine et donc 19,3 en badminton. Oui je me la pète et je ne m'en excuse pas. Tiens soudain l'idée de mon article vient de jaillir hors de ma tête. Incroyable non?
Alors que je divaguais tranquillement dans mes clairs pensés, en effet elles ne peuvent pas toujours être sombres, l'idée de cet article me frappa comme la foudre frappe le ou la bouffon(e), parité oblige, qui s'est réfugié(e) sous un arbre pendant un orage. Ce fût miraculeux, j'avais enfin trouvé le sujet que tout le monde allait lire, parce qu'il était outrageusement d'actualité mais aussi intemporel, du moins depuis une centaine d'année. Je vous demande d'applaudir : Le Baccalauréat ! Je me rends compte, avec un certain amusement non feint, que de plus en plus de mes camarades se sentent agressés à la seule évocation du mot "bac", tellement irrités qu'ils en deviennent irritants. Je ne prendrais pas d'exemple particulier, mais parlerai plutôt d'une généralité bien emmerdante lorsqu'elle se produit.
Il faut tout de même savoir que je suis outré de voir à quel point je suis incapable de me motiver pour me mettre la tête dans les révisions. Les seuls "m'attirant" un peu étant celles d'espagnol, puisque je peux me vanter d'avoir eu 20-16 à mon bac blanc. Ce qui, il faut le rappeler, est une sacrée performance; à la fois de volonté, de persévérance et d'abnégation. Mais ne refaisons pas le passé, il est déjà assez sympathique comme cela. Non, penchons nous plutôt sur l'échéance à venir et la force mentale qu'il faut pour résister à l'attraction sans cesse plus grande de la planète "révision" qui tel Dagoba nous attire toujours un peu plus vers le côté obscur de notre personnalité. Le tout étant de savoir si j'ai un côté lumineux. Diantre que cette question est difficile.
À défaut d'être outrageux donc, c'est avec amusement que je constate que l'échéance s'approche un peu plus chaque jour et que tout ceci ne m'aide pas à aller de l'avant, ouvrir un cahier et me dire : "Allez réfléchis Pierre Yves! Tu veux l'avoir ou pas ton bac, tu veux ou non avoir la honte jusqu'à la fin de tes jours de t'être ridiculisé le jour de ton oral d'espagnol" (je ne m'appelle pas pierre Yves, dieu merci mais quelqu'un oui). En vérité je repousse sans cesse l'échéance, la paresse est devenue chez moi ma principale source d'inspiration, de motivation même. Elle annihile mes tentatives avec une fulgurance et une dextérité telle que je ne puis que rester contemplatif.
C'est tellement bien d'être un branleur, de regarder les gens défiler devant vos yeux, admirer avec ses amis les filles qui passent et leurs donnés une note. Se dire que l'on est bien ici, en bon assisté que nous sommes au lycée et qu'une fois dépourvu de ce cadre privilégié nous serons, en quelque sorte, tout nue. Mon dieu! Si l'avenir me fait peur? Oh que non, c'est surtout cette foutue échéance qui commence à me les gonfler très sérieusement. C'est bien d'être un contemplatif, mais ça ne fait avancer le schmilblick (wow le mot est dans le dico Word, Coluche tout ce sketch n'aura pas été fait en vain) que sur des sujets qui sont très souvent hors des programmes scolaires que l'on étudie pour l'examen fatidique. Il ne me reste plus qu'une solution : Réviser, ainsi je deviendrais la bête sans coeur ni âme et pourrais ainsi supporter la mauvaise humeur de tout à chacun puisque moi aussi je le serais. Je suis décidément machiavélique, même si je risque de rester contemplatif, autrement dit un ES de base, encore un peu. Juste un peu ?!
Alors que je divaguais tranquillement dans mes clairs pensés, en effet elles ne peuvent pas toujours être sombres, l'idée de cet article me frappa comme la foudre frappe le ou la bouffon(e), parité oblige, qui s'est réfugié(e) sous un arbre pendant un orage. Ce fût miraculeux, j'avais enfin trouvé le sujet que tout le monde allait lire, parce qu'il était outrageusement d'actualité mais aussi intemporel, du moins depuis une centaine d'année. Je vous demande d'applaudir : Le Baccalauréat ! Je me rends compte, avec un certain amusement non feint, que de plus en plus de mes camarades se sentent agressés à la seule évocation du mot "bac", tellement irrités qu'ils en deviennent irritants. Je ne prendrais pas d'exemple particulier, mais parlerai plutôt d'une généralité bien emmerdante lorsqu'elle se produit.
Il faut tout de même savoir que je suis outré de voir à quel point je suis incapable de me motiver pour me mettre la tête dans les révisions. Les seuls "m'attirant" un peu étant celles d'espagnol, puisque je peux me vanter d'avoir eu 20-16 à mon bac blanc. Ce qui, il faut le rappeler, est une sacrée performance; à la fois de volonté, de persévérance et d'abnégation. Mais ne refaisons pas le passé, il est déjà assez sympathique comme cela. Non, penchons nous plutôt sur l'échéance à venir et la force mentale qu'il faut pour résister à l'attraction sans cesse plus grande de la planète "révision" qui tel Dagoba nous attire toujours un peu plus vers le côté obscur de notre personnalité. Le tout étant de savoir si j'ai un côté lumineux. Diantre que cette question est difficile.
À défaut d'être outrageux donc, c'est avec amusement que je constate que l'échéance s'approche un peu plus chaque jour et que tout ceci ne m'aide pas à aller de l'avant, ouvrir un cahier et me dire : "Allez réfléchis Pierre Yves! Tu veux l'avoir ou pas ton bac, tu veux ou non avoir la honte jusqu'à la fin de tes jours de t'être ridiculisé le jour de ton oral d'espagnol" (je ne m'appelle pas pierre Yves, dieu merci mais quelqu'un oui). En vérité je repousse sans cesse l'échéance, la paresse est devenue chez moi ma principale source d'inspiration, de motivation même. Elle annihile mes tentatives avec une fulgurance et une dextérité telle que je ne puis que rester contemplatif.
C'est tellement bien d'être un branleur, de regarder les gens défiler devant vos yeux, admirer avec ses amis les filles qui passent et leurs donnés une note. Se dire que l'on est bien ici, en bon assisté que nous sommes au lycée et qu'une fois dépourvu de ce cadre privilégié nous serons, en quelque sorte, tout nue. Mon dieu! Si l'avenir me fait peur? Oh que non, c'est surtout cette foutue échéance qui commence à me les gonfler très sérieusement. C'est bien d'être un contemplatif, mais ça ne fait avancer le schmilblick (wow le mot est dans le dico Word, Coluche tout ce sketch n'aura pas été fait en vain) que sur des sujets qui sont très souvent hors des programmes scolaires que l'on étudie pour l'examen fatidique. Il ne me reste plus qu'une solution : Réviser, ainsi je deviendrais la bête sans coeur ni âme et pourrais ainsi supporter la mauvaise humeur de tout à chacun puisque moi aussi je le serais. Je suis décidément machiavélique, même si je risque de rester contemplatif, autrement dit un ES de base, encore un peu. Juste un peu ?!
Finalement j'ai mangé des raviolis. Et le premier qui me dit qu'il a mangé une pomme (même si c'est vrai) je le scalpe !
Heureuse?