En ce moment je relis les anciens articles que j'ai pu rédiger il y a plus ou moins de temps. Et je suis étonné de voir à quel point ils sont "biens". Certes, ce constat est arrogant, partial, mais il me représente, comme ces textes m'ont représenté à des instants de ma vie ! Tout n'est pas à garder, mais tout n'est pas non plus à jeter, et j'en suis plus que fière. Dans la même mesure, et vous avez dû vous en rendre compte, je rédige et déploie ici mes mots avec une fréquence bien moindre que celle des projets de lois de l'ump. Pour une raison plus qu'évidente, j'irai d'ailleurs jusqu'à dire chiante ; je suis serein. Heureux par instant, rarement dans le doute, je sais enfin vers quoi je tend. Et dieu sait que ce petit chemin, qui sent la noisette, a mis du temps à montrer le bout de son nez. Mais qu'importe, je marche droit, avec envie, je ne renie en aucun cas ce qui m'a construit et garde mes principes. Tout n'est pas rose, mais cela me convient et c'est le principal.
Alors bien sur la prose n'est pas à son apogée, bien sur les sujets abordés (lorsqu'ils le sont) ne se comptent pas sur les doigts d'une main, la qualité et la quantité ont baissé, mais pour un prix qui m'est plus qu'avantageux. "La douleur de la souffrance", je la laisse à ceux qui en veulent et j'essaie pour une fois, d'avancer sans se plaindre, et cela fait fichtrement du bien !
L'oeil vif, c'est ça la fête à chavenay (bon je vous épargne la série de portrait fait par juliette ^^)
Maintenant j'ai toujours les doigts levés comme ça sur les photos, ça doit etre mon style...
Et OUI, jai fait caca à Sciences Po et je me suis assise sur les bancs d'une salle pendant 2h!
:)