Avant de poster les deux immondices que je ne vais pas tarder à retirer, j'avais pour envie de vous décrire plusieurs faits et gestes qui avaient caractérisés ma semaine dans la grève. Peut être même, un reflet de vos propres instants de vies. Qui sait. Comme je l'ai déjà dit précédemment, la fac de Nanterre est à haute valeur symbolique mais n'est rentré que relativement tard dans le conflit. Il a fallu plusieurs AG pour décider si oui ou non celle ci s'engagerait dans la "lutte", du moins le conflit.
[Décidemment, il n'y a que The Greatest pour m'inspirer
et me mettre dans de bonnes conditions de rédactions]
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C'est donc jeudi dernier qu'est voté le blocage qui va faire couler beaucoup d'encre, notamment le mien. Mais passons. Je décide de ce fait et fort logiquement (j'aime à m'approuver), de ne point aller en cours le lendemain puisque ceux ci sont présumés bloqués et que je n'ai strictement aucune envie de me déplacer pour rien. Avec un pincement au coeur, je me vois obligé de rester chez moi, dans mon lit de 2h du matin à 11h30 ce qui est, il faut le reconnaître, déchirant pour une personne comme moi qui aime à se lever tôt et humer le doux air des transports en commun comme on hume le parfum de sa bien aimée.
Un week-end de trois jours, du moins c'est ce je croyais avant l'affront, se profilait une fois de plus. Tout cela bien évidemment me traumatisait au plus haut. J'attaquais de ce fait ma nouvelle semaine avec autant d'ardeur qu'un escargot en rut histoire d'oublier la semaine pitoyablement déprimante qui venait de s'écouler et faire ainsi place à une nouvelle dynamique, qui je l'espérais alors tel un pauvre fou, me permettrait d'oublier tous mes tracas. Que nenni mes bons amis ! Que nennaï!
En effet, ayant pourtant pris mes précautions (il faut toujours les prendre) quant à la tenue ou non des cours; je m'étais rendu, avec joie ne l'oublions pas, aux alentours des 10h30 près de mon bâtiment après que l'on m'eut certifié que les cours aurait bel et bien lieu. Quelle surprise et quel désarroi me prirent lorsque je m'aperçu avec un sentiment tragique non dissimulé, que mon département était le seul à être bloqué et que je ne pouvais, dans ces conditions, point faire cours. Grâce à l'ardeur et à l'ingéniosité de sir de ma mère, je pensais pouvoir rentrer sans encombre dans mon petit patelin qui n'est d'habitude pas si accessible aux heures creuses. C'était sans compter sur [...]
HAHAHA la suite plus tard, si vous la réclamez. Il n'y a que Tote qui la connaît mais je suis sur qu'elle veut tout de même la relire encore et encore ^^. Je dois y aller ! L'ortho dentiste m'appelle. Courage, plus qu'un mois !
Je quiphe ta vie. Elle est trop drôle.
Tu devrais écrire un livre : "les déboires de quentin"
Je l'achèterais.