[Metal Heart]
Je voulais vous raconter une anecdote relativement marrante à laquelle j'avais pensé cette après-midi en rentrant à pied de St Nom la Bretèche et en passant par les champs. Sincèrement il m'est strictement impossible de me souvenir de cette journée qui paraissait pourtant si intéressante à décrire. Extrêmement bizarre tout de même !
La liberté est un présent que l'homme se refuse. Il y aura toujours des dominants et des dominés, ces dominants étant eux-mêmes les esclaves des dominés sans qui rien ne leur serait possible. La liberté n'existe pas, elle n'est qu'illusion, que ce que l'on veut faire croire. Les rapports humains sont essentiellement composés par une soumission fondamentale à des règles, des technologies, des êtres humains, des conditions qui font que l'action est possible ou non.
L'homme n'avance pas léger, mais lourd, encombré par toutes ces contraintes qui font de lui un dépendant de la société. Ce concept est illusoire, utopiste, et trop humain. Nous avançons masqué et à aucun moment nous ne pouvons réellement retirer ce bandeau de servitude qui nous recouvre les yeux ; puisqu'à chaque moment de la vie, la nécessité des rapports se fait ressentir.
Je suis enchaîné à ce corps, ses imperfections, son état d'esprit comme d'autres le sont à leurs conditions, convictions, aspirations. Au final, penser par soi même et vouloir agir seul ne consiste donc qu'à être esclave de cette idéologie. Contradictoire n'est-il pas?
La liberté est un présent que l'homme se refuse. Il y aura toujours des dominants et des dominés, ces dominants étant eux-mêmes les esclaves des dominés sans qui rien ne leur serait possible. La liberté n'existe pas, elle n'est qu'illusion, que ce que l'on veut faire croire. Les rapports humains sont essentiellement composés par une soumission fondamentale à des règles, des technologies, des êtres humains, des conditions qui font que l'action est possible ou non.
L'homme n'avance pas léger, mais lourd, encombré par toutes ces contraintes qui font de lui un dépendant de la société. Ce concept est illusoire, utopiste, et trop humain. Nous avançons masqué et à aucun moment nous ne pouvons réellement retirer ce bandeau de servitude qui nous recouvre les yeux ; puisqu'à chaque moment de la vie, la nécessité des rapports se fait ressentir.
Je suis enchaîné à ce corps, ses imperfections, son état d'esprit comme d'autres le sont à leurs conditions, convictions, aspirations. Au final, penser par soi même et vouloir agir seul ne consiste donc qu'à être esclave de cette idéologie. Contradictoire n'est-il pas?
Mais bon on pourrait pousser trèèès loin ce genre de petite déduction, ça semble un peu dangereux même.