Dimanche 22 avril 2007 à 2:45

    Je vous insulte ? Et alors ai-je une énième fois envie de dire. Est-ce pour autant que vous devez vous aussi m'insulter? Me maudire? M'étriper? Non, tout simplement parce que, parce que j'ai des choses à dires et que, contrairement à certains bonapartistes, je ne me muselle pas pour paraître plus rassembleur ou plus droit. Demain est un jour dont beaucoup de monde vont se foutre, je n'en ferais pas partie pour mon plus grand malheur. Je pense que si Le pen et Sarkozy passent, je me ramènerai au bahut avec un t-shirt : Hitler ou Pinochet il faut choisir ! Mais là n'est pas le sujet de l'article, ce sujet n'est nulle part et partout à la fois, il est moi, vous, lui, elle, mon amour et mon pire ennemi. Il est sans être. Il existe, mais ne parait pas. Vous voulez que je fasse encore plus abstrait? Vraiment, vous ne voulez vraiment pas? C'est bien dommage, sachez que vous le regretterez un jour, tout comme de voter Sarkozy. Quoi des menaces, des mises en gardes? Moi? Kent? Blog politiquement athée? (la bonne blague, moi politiquement athée? mais loool comme disent les tchateurs msniens dont je fais partis en ce moment même.)

   
    Msn plais ou chance de l'univers? Mais qu'est-ce qu'on en a à foutre de cette question rhétorique de mes deux, qui ne fait en rien avancer le schmilblick de papi mougeot. Cet article ne ressemble à rien, il part dans tous les sens? C'est voulu, j'ai envie de vous dire merde et je vous aime dans la même phrase. Pourquoi? Peut être parce qu'il y a avait un poil trop de vodka dans mon jus d'orange, et encore c'était par défaut. Je suis un djeunze, un rebelle, pitoyable qui plus est. Tant pis, ça ne m'empêche pas de vivre, et de me dire que bien qu'étant un jeune effroyablement ordinaire, je n'en reste pas moi Quentin, et que je peux m'amuser, de temps en temps. Et encore, le mot est fort. Il m'apparaît des fois que la vie est d'un ennui, les gens ne valent pas la peine d'être rencontrer. J'effectue donc sans le dire et sans m'en rendre compte, une sorte de hiérarchisation, je ne donne ma chance à personne, reste bloqué sur mes convictions. Je n'arrive pas à passer au stade de la spontanéité. Pour faire plus simple, je n'arrive pas à être foutrement spontané. Il me faut un cercle de confiance, des amis très proches, ou un peu d'alcool, pour être vraiment déconneur, ouvert et tout le tralala. Sinon je reste calculateur, distant, à la limite de l'asociabilité, du rejet de l'autre. Non pas peur de lui, mais par peur de l'image que je renvoie. Image bien plus négative par ailleurs, si je me replis dans mon coin avec mes écouteurs, alors que je pourrais discuter gaiement avec il, elle ou il et elle.

Je pense à elle, mais pas seulement, je pense aussi à elle et à lui. A tous au final. Et le psg a gagner, vous avez les boules, ou les trompes cela dépends ! Bref, mauvaise nuit et demain ou aujourd'hui, tout dépend de votre humeur : Aux urnes!




Tout ça me donne envie de reprendre le journal. Juste pour un numéro, on verra...


Mercredi 18 avril 2007 à 1:11

   
    À tout ce qui ont cliqué ici en espérant voir des photos de bill et autre tom, je dirais dommage et arrêté vos cris de groupies hystériques (pléonasme) car ça fait vraiment peur. Passons donc, essayons même de partir en « freestaïle » pour reprendre l'expression de jul. Je vais aussi commencer par m'excuser, pour la simple et bonne raison que je n'ai aucune envie d'être drôle, je n'ai pas une miette de situation cocasse à vous raconter, aucune anecdote savoureuse à me rappeler, ni la volonté de le faire. Non je veux du sérieux, là maintenant tout de suite, je veux me faire plaisir, pour votre plus grand malheur, je m'en excuse. J'aime me croire important. Estimer que j'ai un peu d'influence, que je suis éclairé comme certaines personnes m'éclairent. Prêchez dans le vide, ou enfoncer des portes ouvertes est devenu ma spécialité, qu'importe, au moins l'on connaîtra ma façon de penser.

    Cet article est nul, à chier, à jeter. Tout à l'heure j'avais une multitude d'idées dans la tête, pas forcément extraordinaires, pas forcément passionnantes, pas forcément innovantes mais bordel c'était des idées. Maintenant je suis là comme une loque à écrire, effacer, écrire, effacer, s'insurger contre mon manque cruel d'idée pendant que mes parents s'esclaffent devant un Charly Chaplin ma foi très drôle. Et pour cause en descendant je tombe nez à nez avec un Charlot entrain de nous livrer le combat de boxe le plus drôle que j'ai jamais vu, des Ko en pagaille, accompagné de coup pieds de vicieux aux fesses, d'enroulage autour de la corde du gong, je vous laisse imaginer le mic mac. Sachez tout de même qu'à la fin notre pauvre clochard perd, il est même assommé par son propre gant. Du grand Chaplin. Je suis distrait, par ce bruit de fond qui à la longue devient agaçant, les entendre rire c'est chiant, par msn, par mon énervement aussi à ne pas finir, à ne pas trouver le bon sujet. Peut-être que ce soir n'est pas le bon soir pour le bon article. Peut-être que celui-là ne sera pas intéressant, ce n'est même pas une supposition, c'est un fait abruti ! Oui j'aime m'insulter à la troisième personne, c'est plus classe mais aussi très con, pourquoi pas?

    Reprenons le cours de nos idées alors; je cherche, je cherche au plus profond de ma petite tête et diantre que c'est dur de trouver quelque chose dans un tel vide ! Puis à force de divaguer je le trouve enfin ce putain de fil conducteur, je m'y accroche et j'y crois dur comme fer (attention c'est réfléchis), je le peaufine, je continu à effacer, censurer. Pour ne pas choquer mais aussi être le plus convaincant possible, le plus attrayant, évitant ainsi les longueurs, les "trop". J'apporte un soin particulier à ce que mon style soit le moins navrant possible. Au passage si je m'en sors pas trop mal en cours c'est en grande partie grâce à cela. En effet, je brode autour d'une même idée, mais puisque cela est bien dit le prof apprécie, du moins dans certains cas, ça ne marche pas avec tout le monde et c'est bien dommage. Je crois même que c'est avec ce « style » que j'ai eu 15 à mon bac de français, car sincèrement je ne vois pas d'autre explication. Mais revenons à cet article. Je structure le tout en paragraphe, relis, essaie d'éviter les répétitions, me demande s'il va avoir du succès, s'il sera polémique ou non? Si oui, quelles en seront les réactions, aurai-je assez de répartie ? Puis je sélectionne le tout, le fait passer sous Word, corrige ce que je peux corriger. Justifie. Sélectionne une catégorie, poste et vous souhaite un joyeux noël. On est comme ça chez moi, c'est la chaleur humaine qui prime !

C'était donc Kent, envoyé spécial(ement con) de son esprit qui tentait tant bien que mal de vous retranscrire l'élaboration et la réalisation d'un article (duré environ 1heure), qui peut être considéré comme pitoyable.


Edit : J'ai mis un compteur à droite, le truc avec le chiffre, je trouve ça marrant de savoir combien il y a de personne de connecté en même temps sur le blog, uniquement pour mon ego.

Mardi 10 avril 2007 à 2:18

   Cette après-midi j'ai vu grannysmith, nous avons pas mal discuter dans le quartier des halls à paris. De tout, notamment de politique. Celui-ci m'a fait remarquer que les élections n'étaient plus que dans deux semaines. J'ai eu l'impression de recevoir une claque... Cela fait près de deux ans que j'attends ce jour fatidique, que je fais des pronostiques, tente de regarder les différentes propositions, critique bon nombre de candidats. Que ce soit sur ce blog ou ailleurs. Et me voilà maintenant, moi Quentin, entrain de me dire que les élections, celle qui vont changer le sort de la France pour les 5 prochaines années à venir, ne sont plus que dans deux semaines, deux toutes petites semaines. Je vais vous l'avouer, j'ai peur, plus que peur.

    En effet je pressens que tel passe partout celui ci se faufile de sondage en média pour au final atteindre la plus haute marche de l'Élysée. Oui, ce petit homme me fait peur. Par son ministère de l'identité nationale/immigration mais aussi par des propos qu'il aurait tenu dans un journal de province :

"J'inclinerais, pour ma part, à penser qu'on naît pédophile, et c'est d'ailleurs un problème que nous ne sachions soigner cette pathologie. Il y a 1.200 ou 1.300 jeunes qui se suicident en France chaque année, ce n'est pas parce que leurs parents s'en sont mal occupés ! Mais parce que, génétiquement, ils avaient une fragilité, une douleur préalable. Les circonstances ne font pas tout, la part de l'inné est immense." (Pris chez maud96)

    Je n'ai même pas envie de me battre lors que je lis de tels imbécillités. Dans un article sur la peine de mort, je parlais déjà de ces pédophiles, je ne referais donc pas mon argumentaire ici. En ce qui concerne les adolescents suicidaires, bien que je ne cautionne pas cette ultime révolte de l'esprit contre le corps, il est inacceptable de dire que l'on naît suicidaire... Rien n'est prédestiné génétiquement, même pas notre organisme puisqu'il nous arrive toujours des imprévus qui modifie notre aspect et notre esprit!

    Je me demandais donc ce qu'il allait faire de ces personnes génétiquement mauvaises? Parce que ces propos-là me font étrangement penser à la doctrine nazie, à l'internement et l'extermination des premières victimes de ce régime, je veux bien entendu parler des handicapés. Va-t'on en arriver à faire des tests de dépistages, puis des camps de rétentions pour le bien de la société, puisque ces personnes étant génétiquement mauvaises, sont incurables... Oui cet homme me fait peur, plus que jamais !


Edit : Non je ne dramatise pas, je pousse à son paroxysme un raisonnement arriéré et dangereux !

Jeudi 29 mars 2007 à 19:25

    Ravel me les brise menue en ce moment. J'essaie de me connecter sur leur site depuis une heure, d'entrée mon identifiant, le numéro du lycée ainsi que ma date de naissance. Et lorsque j'appuie sur valider rien ne se passe, la page charge et redevient, en fait non elle reste la même, la barre de chargement m'indiquant que ce dernier est finie. Foutue Université française à la con de merde ! Et foutu asthme par la même occasion. Foutus pollens puisqu'ils en sont la cause! Depuis certains jours je me perd un peu. Et ne me retrouve pas, je ne suis plus drôle, je ne suis pas éteint. Non. Je suis juste différent, plus agressif et moins moi-même. Je regrette un silence risible, quoique salutaire il faut le reconnaître, employé pour de mauvaises raisons. Mais passons, il ne sert à rien de s'attarder sur des choses devenues aussi futiles et concentrons nous plutôt sur le présent.

    Pourquoi ce titre? Parce qu'en rentrant de notre compétition de natation, j'ai eu le malheur de voir accroché telle une sangsue un tract de notre borgne préféré. Il y était inscrit cette courte phrase : "Lepen le vote vital" ! Je me suis alors posé la question, après avoir pourrie cet acte de vandalisme à coup de marqueur, de quel droit nous pouvions désigner quelqu'un de "vital". J'ai souvent considéré l'être aimé comme quelqu'un d'irremplaçable, mais est-ce pour autant que nous devons tout pardonner? Et puis cet être irremplaçable le reste sur le moment, mais pas forcément pour toute une vie et heureusement. Revenons en à ce personnage vital. En quoi celui-ci le serait, sommes tous abrutis autour de cette grande table qu'est la France pour ne pas faire notre bon choix. Pourquoi cette notion de choix? Parce que "vital" insinue une sorte d'obligation. Votons Lepen ou nous mourrons. Personne n'est vital et ne le sera jamais. Cela signifierai que nous ne le serions pas. Notre ami aurait alors introduit dans ce simple tract la notion de hiérarchisation des hommes? Lui et les autres? Ou bien nous et les autres? Ne serait-ce pas une forme de racisme plus ou moins bien dissimulé auquel nous assistons? Les hommes politiques en général seraient donc nos guides, nos sauveurs si nous suivions la vision qu'en fait ce petit bout de papier?

    Dans ce sens je n'apprécie décidément pas la véritable adoration que leurs vouent bien souvent ces militants. Que cela soit ceux de Royale, Bayrou, Sarkozy ou Lepen. On a souvent critiqué le culte de la personnalité stalinien mais force est de constater qu'à voir pulluler les jeunes et leurs soutiens inconditionnelles aux différents candidats, on peut se demander si ça ne va pas trop loin. Les t-shirts, les phrases du types : "De toutes façons Sarko qu'on l'aime ou qu'on l'aime pas, c'est le meilleur..." De ces militants junior qui vont faire des tours de France pour faire passer leurs amours pour tels ou tels  candidats. Alors bien sur, c'est louable, merde,  mais ça ne convient pas à la vision que j'ai de l'homme. Un homme libre de toutes influences, de tous clivages et indépendant d'une quelconque revendication. On peut apprécier un homme/femme politique, ses idées, ses actions. Mais nous ne devons pas perdre de vue qu'au même titre que lui, nous sommes citoyens et devons garder un minimum de personnalité. Je prends l'exemple d'un élève de mon lycée qui fait partie des jeunesses sarkozistes, va au meeting, brandis fièrement son t-shirt Sarkozy. Que devons nous déduire de ce comportement? Pour lui tout ce que notre présidentiable fait est parfait. Il n'est qu'un exemple parmi tant d'autre.

    L'esprit critique a disparu ici, et il est entrain de disparaître dans bien d'autre têtes. On peut soutenir son candidat, être d'accord avec sa politique, mais pas lui proclamer son amour car c'est le premier pas vers le culte de la personnalité et donc un certain régime totalitaire même si le mot est fort. J'estime qu'on ne supporte pas un candidat comme on supporte une équipe de foot ! Et j'en connais pas mal de personne, qui plutôt que de regarder la politique s'attache au personnage. Je n'aime pas, préférant garder mon droit de critique pour tous les candidats, mon intégrité n'est pas sensible aux promesses. Je les examine, pèse le pour et le contre, compare avec les autres propositions, me forgeant ainsi ma propre opinion. Quand beaucoup avalent tout d'un bloc, j'espère que nous ne sommes pas moins nombreux à garder encore un peu de liberté avec plusieurs portes ouvertes et non pas un seul et même couloir étriqué !

Plus je lis ce texte et plus je me dis qu'il doit avoir plusieurs significations, bizarre...

Lundi 26 mars 2007 à 1:02

    J'aime renouer avec des titres sans intérêts particuliers et qui n'ont pas pour fonctions d'être aguicheur. Je me suis acheté le nouvel album d'Arcade Fire, Neon Bible, il est vraiment bien. Mais là n'est pas l'article. L'article en vérité ne se trouve nulle part. L'idée était là il y a encore quelques minutes. Une fois retrouvé devant cette page numériquement blanche, elle s'en est allée. Vicieuse qu'elle est. Je suis entrain de ressasser mes choix d'orientations l'année prochaine. Pour ce fameux après bac, là où nous nous retrouvons plus autonome et de ce fait plus vulnérable. Je suis dans ma crise ridicule du "je n'arriverai à rien" sauf que j'en ai conscience, que je peux y arriver. Quitte à me prendre un grand mur dans la gueule. Au moins j'aurai tenté...

("Intervention" d'arcade fire est particulièrement savoureuse)
   
   
    Je voulais écrire sur plein de choses, sur mon après-midi d'hier (samedi) à paris avec Kam, sur le film qu'on est allé voir : Ensemble c'est tout. Mais je n'ai pas envie d'écrire sur ce film car je n'en vois pas la nécessité. Je voulais aussi parler du concert auquel j'ai assisté ce soir-là. Il y avait les Dordebous toujours aussi bons malgré quelques problèmes techniques. Aujourd'hui je suis allé à la messe. Une messe de commémoration pour, entre autres, mon grand père et ma tante. Lui est mort, il y a 10ans, d'un cancer. Elle lorsque j'avais 3ans (j'en ai eu 17 en octobre), à cause d'une maladie orpheline. À seulement 31ans…

    Je n'aime pas la religion et surtout son église. Je pense que pour ceux qui me lisent depuis un certain temps, il est clair que je ne suis pas particulièrement un fervent défenseur de ses dogmes. Combien de fois pendant ces deux heurs, j'ai entendu des  : "Seigneurs nous ne sommes pas dignes [...] Remets nous dans le droit chemin [...] Aide nous à ne pas succomber à la tentation[...]" Ces phrases m'exaspèrent. Elles font de l'homme un être qui décline ses responsabilités au profit du tout puissant. Il est facile après avoir mal agis de demander le pardon. Ce n'est pas tellement là que je veux en venir, car je le sais, on a tous droit à une seconde chance ou même à un simple pardon. Ce que je n'apprécie guère c'est cette volonté de toujours remettre sa vie entre les mains d'un dieu. Quel qu'il soit. Il est clair qu'il y a des cas où le rationnel ne peut plus rien faire. Mais il y en a d'autre où nous pouvons agir, où nous pouvons corriger le tir, accéder à nos buts par la seule force de notre volonté. Et pas parce qu'un soi-disant être supérieur nous en a donné la force.

    C'est ce dédouanement permanent que j'exècre. Qu'il soit pour de bonnes ou de mauvaises choses. Je ne remets pas en cause la croyance de certain, je leur dis juste d'avancer par eux-mêmes. Alors bien sûr s'ils peuvent trouver du réconfort dans ce papa portable (merci misanthrope) pourquoi pas, mais pas tout le temps et pour tout. Nous vivons dans une société rationaliste et je m'en excuse. Il faut juste savoir accepter le mérite lorsqu'il nous revient ainsi qu'un possible échec. Il faut s'assumer. Et arrêter cette bonne conscience qui consiste à se dire qu'à partir du moment où nous louons notre "seigneur" alors tout ce que nous faisons est juste ou pardonnable. Non! vivons. Une certaine spiritualité, un dialogue intérieur n'est pas pour moi à proscrire, mais il doit être beaucoup plus abouti et fondé que de simples actions de la vie quotidienne.

    Ma vision n'est peut-être pas juste, elle ne plaira pas non plus. Mais j'estime que de prier pour les jeunes atteint de la famine en Afrique sans ne rien donner après alors que l'emploi du temps est libre, le porte monnaie plein, ça c'est de l'hypocrisie. Je me rends compte que je suis de plus en plus marxiste tout en méditant à un certain individualisme. Du grand n'importe quoi en somme...


Edit : Ne t'inquiète pas jiraiya, je suis aussi un fervent admirateur de sa formule de l'opium du peuple. Simplement elle ne rentrait pas dans le point d'argumentation développé ici. Il y a tellement à dire sur ce sujet...

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