Je vous insulte ? Et alors ai-je une énième fois envie de dire. Est-ce pour autant que vous devez vous aussi m'insulter? Me maudire? M'étriper? Non, tout simplement parce que, parce que j'ai des choses à dires et que, contrairement à certains bonapartistes, je ne me muselle pas pour paraître plus rassembleur ou plus droit. Demain est un jour dont beaucoup de monde vont se foutre, je n'en ferais pas partie pour mon plus grand malheur. Je pense que si Le pen et Sarkozy passent, je me ramènerai au bahut avec un t-shirt : Hitler ou Pinochet il faut choisir ! Mais là n'est pas le sujet de l'article, ce sujet n'est nulle part et partout à la fois, il est moi, vous, lui, elle, mon amour et mon pire ennemi. Il est sans être. Il existe, mais ne parait pas. Vous voulez que je fasse encore plus abstrait? Vraiment, vous ne voulez vraiment pas? C'est bien dommage, sachez que vous le regretterez un jour, tout comme de voter Sarkozy. Quoi des menaces, des mises en gardes? Moi? Kent? Blog politiquement athée? (la bonne blague, moi politiquement athée? mais loool comme disent les tchateurs msniens dont je fais partis en ce moment même.)
Msn plais ou chance de l'univers? Mais qu'est-ce qu'on en a à foutre de cette question rhétorique de mes deux, qui ne fait en rien avancer le schmilblick de papi mougeot. Cet article ne ressemble à rien, il part dans tous les sens? C'est voulu, j'ai envie de vous dire merde et je vous aime dans la même phrase. Pourquoi? Peut être parce qu'il y a avait un poil trop de vodka dans mon jus d'orange, et encore c'était par défaut. Je suis un djeunze, un rebelle, pitoyable qui plus est. Tant pis, ça ne m'empêche pas de vivre, et de me dire que bien qu'étant un jeune effroyablement ordinaire, je n'en reste pas moi Quentin, et que je peux m'amuser, de temps en temps. Et encore, le mot est fort. Il m'apparaît des fois que la vie est d'un ennui, les gens ne valent pas la peine d'être rencontrer. J'effectue donc sans le dire et sans m'en rendre compte, une sorte de hiérarchisation, je ne donne ma chance à personne, reste bloqué sur mes convictions. Je n'arrive pas à passer au stade de la spontanéité. Pour faire plus simple, je n'arrive pas à être foutrement spontané. Il me faut un cercle de confiance, des amis très proches, ou un peu d'alcool, pour être vraiment déconneur, ouvert et tout le tralala. Sinon je reste calculateur, distant, à la limite de l'asociabilité, du rejet de l'autre. Non pas peur de lui, mais par peur de l'image que je renvoie. Image bien plus négative par ailleurs, si je me replis dans mon coin avec mes écouteurs, alors que je pourrais discuter gaiement avec il, elle ou il et elle.
Je pense à elle, mais pas seulement, je pense aussi à elle et à lui. A tous au final. Et le psg a gagner, vous avez les boules, ou les trompes cela dépends ! Bref, mauvaise nuit et demain ou aujourd'hui, tout dépend de votre humeur : Aux urnes!
Msn plais ou chance de l'univers? Mais qu'est-ce qu'on en a à foutre de cette question rhétorique de mes deux, qui ne fait en rien avancer le schmilblick de papi mougeot. Cet article ne ressemble à rien, il part dans tous les sens? C'est voulu, j'ai envie de vous dire merde et je vous aime dans la même phrase. Pourquoi? Peut être parce qu'il y a avait un poil trop de vodka dans mon jus d'orange, et encore c'était par défaut. Je suis un djeunze, un rebelle, pitoyable qui plus est. Tant pis, ça ne m'empêche pas de vivre, et de me dire que bien qu'étant un jeune effroyablement ordinaire, je n'en reste pas moi Quentin, et que je peux m'amuser, de temps en temps. Et encore, le mot est fort. Il m'apparaît des fois que la vie est d'un ennui, les gens ne valent pas la peine d'être rencontrer. J'effectue donc sans le dire et sans m'en rendre compte, une sorte de hiérarchisation, je ne donne ma chance à personne, reste bloqué sur mes convictions. Je n'arrive pas à passer au stade de la spontanéité. Pour faire plus simple, je n'arrive pas à être foutrement spontané. Il me faut un cercle de confiance, des amis très proches, ou un peu d'alcool, pour être vraiment déconneur, ouvert et tout le tralala. Sinon je reste calculateur, distant, à la limite de l'asociabilité, du rejet de l'autre. Non pas peur de lui, mais par peur de l'image que je renvoie. Image bien plus négative par ailleurs, si je me replis dans mon coin avec mes écouteurs, alors que je pourrais discuter gaiement avec il, elle ou il et elle.
Je pense à elle, mais pas seulement, je pense aussi à elle et à lui. A tous au final. Et le psg a gagner, vous avez les boules, ou les trompes cela dépends ! Bref, mauvaise nuit et demain ou aujourd'hui, tout dépend de votre humeur : Aux urnes!
Tout ça me donne envie de reprendre le journal. Juste pour un numéro, on verra...