Il se trouve que je viens de finir ma semaine de bac blanc, enfin ! Un finish en beauté avec ce matin 4heure d'histoire géographie et cette après midi 3heures d'anglais sur un fichu texte de Mary Higgins Clark! Bref, maintenant tout ça c'est du passé, du moins jusqu'au vrai bac. Il se trouve, et c'est là que vous allez comprendre le rapport avec le titre, que ce bac blanc a été une source étonnante d'inspiration mais malheureusement en adéquation avec le sujet... Il m'arrivait en effet assez souvent 3 fois sur 5 épreuves ce qui était plutôt pour me déplaire puisque cela m'empêchait de me concentrer sur le désir, la mobilité sociale en France et le rôle des États-Unis de 70 à nos jours. Voilà donc une de ses entrées intempestives :
"Comment faire lorsque tout vous abandonnes?! Vos certitudes, vos doutes, vos croyances, vos espoirs! Et tout cela devant la dure réalité des faits, ou peut être est-ce juste la dure réalité de la vie? Doute salutaire... Peut-être pas, pas encore du moins. Ce n'est pas de mes capacités dont je doute, mais de cette autre. Ce sentiment, perversions de la raison, qui me prends, s'immisce en moi alors que je devrais me pencher sur le désir... Un désir qui au final me rappelle à quel point cette autre m'est chère. Tout est si décousu, invraisemblable, irréel en quelque sorte... Alors pourquoi continuer à espérer, pourquoi se battre inlassablement contre les mauvais coups, les retournements de situations, les faits établis? Tout cela, nous le faisons par amour, mais par amour de nous-même, de nos joies, de nos satisfactions. Ses joies qui nous sont propres alors que les peines leur appartiennent. À eux, ces autres…"
"Comment faire lorsque tout vous abandonnes?! Vos certitudes, vos doutes, vos croyances, vos espoirs! Et tout cela devant la dure réalité des faits, ou peut être est-ce juste la dure réalité de la vie? Doute salutaire... Peut-être pas, pas encore du moins. Ce n'est pas de mes capacités dont je doute, mais de cette autre. Ce sentiment, perversions de la raison, qui me prends, s'immisce en moi alors que je devrais me pencher sur le désir... Un désir qui au final me rappelle à quel point cette autre m'est chère. Tout est si décousu, invraisemblable, irréel en quelque sorte... Alors pourquoi continuer à espérer, pourquoi se battre inlassablement contre les mauvais coups, les retournements de situations, les faits établis? Tout cela, nous le faisons par amour, mais par amour de nous-même, de nos joies, de nos satisfactions. Ses joies qui nous sont propres alors que les peines leur appartiennent. À eux, ces autres…"
Tu as raison, tout cela est trop hautain, redevenons nous même...