Une sorte de mélancolie m'envahit, bien que je ne sache pas vraiment le sens véritable de ce nom, toujours à employer des grands mots, je dois avoir l'air fin à jouer les approximatifs. Aujourd'hui j'ai appris ce qu'est la rigueur, le tout étant de savoir si désormais je serais mettre en pratique ce que l'on attends de moi depuis la 6e... Snow est tout particulièrement triste et belle à la fois, la mélodie me renvoie à une période que j'aimerais revivre. Car il faut être honnête avec soit même et pourquoi pas avec vous. Chers lecteurs, vous qui venez toujours un peu plus ou un peu moins lire mes écrits, états d'âme ou pur connerie. Ce soir, j'ai tout simplement envie d'un article honnête. Loin des envolés lyriques ou autre fiction, non je veux raconter le quotidien de ma tête, l'homme, du moins le garçon que je suis. Plus de masques, ni d'entourloupe, plus de volte face et d'imagerie ridicule. Plus pour ce soir, cet instant précis.
Hier je me suis rendu compte que cela faisait 5 mois, c'est à la fois énorme dans l'espace-temps commun, mais infiniment ridicule dans le mien. Ce n'est pas hier, mais vaguement quelque jours, comme si tout cela n'était qu'un mauvais rêve, que tout allait recommencer, tout ce qu'il ne fallait pas allait recommencer. Au final ce n'est qu'une histoire banale, je suis banal, nous le sommes tous, ou presque. J'ai sans doute aucun exagéré son être, me suis aussi rabaissé à mauvais escient, pour au final atteindre un objectif inespéré. Si ma vie, si cette période était un roman, j'aurai finis celui-ci par un épilogue de ce style : "1mois après s'être avoués leurs sentiments, elle le quitta et retourna en arrière, peut être pour un nouveau départ. Sans doute n'avait-il pas été assez lui-même ou tout simplement nul." Oui c'est l'épilogue, le dernier chapitre que j'aurai dévoilé, si j'avais fini 1h34, peut être l'écrirais-je un jour d'ailleurs. Je divague, peut être trop, mais au moins aurez-vous comprit que bien que clair, mon esprit n'en reste pas moins incompréhensible par moments.
Alors autant sortir tout cela, être honnête, dire que ça ne va pas forcément toujours "super bien", que non je n'oublie pas ce qui s'est passé, j'aurai tort d'ailleurs, mais qu'il faut que j'oublie certaines idées, certains remords qu'il m'arrive encore d'avoir. Et puis je suis sadique, acide, je pique et y prends plaisir. Je m'énerve pour des faits justifiés ou non et puis toute cette tension provoquée par le bac déteint sur les autres. Et les autres déteignent sur moi, car j'en ai marre de voir se plaindre ou piquer la mouche pour rien, alors que moi-même il m'arrive d'être imbuvable et pas seulement pendant le bac. Mais je me répète encore et encore, m'éloigne qui plus est du sujet, suis provoquant, immature et désespérément attaché à certaines choses, certain rituel qui partent et qui reviennent, tel le balancement d'une trotteuse. Cette manie de regarder le téléphone au réveil pour voir si oui ou non un message est parvenu, c'est plus que chiant. Enfin, faisons avec, et puis les vacances arrivent, les gens partent en espérant que d'autres reviennent, que tout ne soit pas sacrifier sur l'autel des études supérieurs.
Je suis mélancolique ce soir, même si je ne sais pas clairement la signification de ce mot. Et je remercie ondine d'avoir joué le jeu de la devinette de mon article ci-dessous. À venir, la suite de ma nouvelle, je l'espère en tout cas.
Il n'empêche que cela fait du bien, beaucoup de bien. Et en parlant de bien, j'ai vraiment apprécié la soirée passé hier soir à leur côté, et la pièce était plus que sympathique. Je conseille au passage au futur mari de jul, de ne pas assisté à son accouchement. Ou si il y tient vraiment, de prendre des bouchons pour les oreilles. (dommage que tu sois pas venue, mais c'est pas grave, on en aura d'autre, vous comprendrez que je ne mette pas de photo ce soir?)
Hier je me suis rendu compte que cela faisait 5 mois, c'est à la fois énorme dans l'espace-temps commun, mais infiniment ridicule dans le mien. Ce n'est pas hier, mais vaguement quelque jours, comme si tout cela n'était qu'un mauvais rêve, que tout allait recommencer, tout ce qu'il ne fallait pas allait recommencer. Au final ce n'est qu'une histoire banale, je suis banal, nous le sommes tous, ou presque. J'ai sans doute aucun exagéré son être, me suis aussi rabaissé à mauvais escient, pour au final atteindre un objectif inespéré. Si ma vie, si cette période était un roman, j'aurai finis celui-ci par un épilogue de ce style : "1mois après s'être avoués leurs sentiments, elle le quitta et retourna en arrière, peut être pour un nouveau départ. Sans doute n'avait-il pas été assez lui-même ou tout simplement nul." Oui c'est l'épilogue, le dernier chapitre que j'aurai dévoilé, si j'avais fini 1h34, peut être l'écrirais-je un jour d'ailleurs. Je divague, peut être trop, mais au moins aurez-vous comprit que bien que clair, mon esprit n'en reste pas moins incompréhensible par moments.
Alors autant sortir tout cela, être honnête, dire que ça ne va pas forcément toujours "super bien", que non je n'oublie pas ce qui s'est passé, j'aurai tort d'ailleurs, mais qu'il faut que j'oublie certaines idées, certains remords qu'il m'arrive encore d'avoir. Et puis je suis sadique, acide, je pique et y prends plaisir. Je m'énerve pour des faits justifiés ou non et puis toute cette tension provoquée par le bac déteint sur les autres. Et les autres déteignent sur moi, car j'en ai marre de voir se plaindre ou piquer la mouche pour rien, alors que moi-même il m'arrive d'être imbuvable et pas seulement pendant le bac. Mais je me répète encore et encore, m'éloigne qui plus est du sujet, suis provoquant, immature et désespérément attaché à certaines choses, certain rituel qui partent et qui reviennent, tel le balancement d'une trotteuse. Cette manie de regarder le téléphone au réveil pour voir si oui ou non un message est parvenu, c'est plus que chiant. Enfin, faisons avec, et puis les vacances arrivent, les gens partent en espérant que d'autres reviennent, que tout ne soit pas sacrifier sur l'autel des études supérieurs.
Je suis mélancolique ce soir, même si je ne sais pas clairement la signification de ce mot. Et je remercie ondine d'avoir joué le jeu de la devinette de mon article ci-dessous. À venir, la suite de ma nouvelle, je l'espère en tout cas.
Il n'empêche que cela fait du bien, beaucoup de bien. Et en parlant de bien, j'ai vraiment apprécié la soirée passé hier soir à leur côté, et la pièce était plus que sympathique. Je conseille au passage au futur mari de jul, de ne pas assisté à son accouchement. Ou si il y tient vraiment, de prendre des bouchons pour les oreilles. (dommage que tu sois pas venue, mais c'est pas grave, on en aura d'autre, vous comprendrez que je ne mette pas de photo ce soir?)