Samedi 9 février 2008 à 0:21


[
Metal Heart]

   
    Je voulais vous raconter une anecdote relativement marrante à laquelle j'avais pensé cette après-midi en rentrant à pied de St Nom la Bretèche et en passant par les champs. Sincèrement il m'est strictement impossible de me souvenir de cette journée qui paraissait pourtant si intéressante à décrire. Extrêmement bizarre tout de même !

    La liberté est un présent que l'homme se refuse. Il y aura toujours des dominants et des dominés, ces dominants étant eux-mêmes les esclaves des dominés sans qui rien ne leur serait possible. La liberté n'existe pas, elle n'est qu'illusion, que ce que l'on veut faire croire. Les rapports humains sont essentiellement composés par une soumission fondamentale à des règles, des technologies, des êtres humains, des conditions qui font que l'action est possible ou non.
    L'homme n'avance pas léger, mais lourd, encombré par toutes ces contraintes qui font de lui un dépendant de la société. Ce concept est illusoire, utopiste, et trop humain. Nous avançons masqué et à aucun moment nous ne pouvons réellement retirer ce bandeau de servitude qui nous recouvre les yeux ; puisqu'à chaque moment de la vie, la nécessité des rapports se fait ressentir.
    Je suis enchaîné à ce corps, ses imperfections, son état d'esprit comme d'autres le sont à leurs conditions, convictions, aspirations. Au final, penser par soi même et vouloir agir seul ne consiste donc qu'à être esclave de cette idéologie. Contradictoire n'est-il pas?

Mardi 5 février 2008 à 17:32

[Volviquette de son doux surnom] 



   
    Avec cowblog, on ne peut pas insulter les gens (ouai c'est écrit dans la charte que personne ne lis). Dommage, parce que je vous phoque tous ! « Pourquoi tant de haine » diront beaucoup, surtout les plus naïfs? Tout simplement pour un motif évident. Cela fait du bien de déverser son malheur sur le dos des autres. Qui à leurs tours en bavent et ainsi de suite. Faire chier est une des plus douces actions qui soient. Sincèrement. Car même lorsque l'on sait que l'on a tort, cela n'empêche pas (et moi le premier) de s'empêtrer dans son erreur. Juste pour faire chier. Et rien que ça ; c'est suffisant à me faire sourire. Alors je vous emmerde tous, sans raison particulière ou plutôt si, parce que je vous aime. Du plus profond de mon être, du plus profond de mon âme, puisque j'en ai une. Vous devriez vous aussi relâcher le frein à main parfois. La vie n'est que plus drôle, agréable à supporter. Ce n'était pas un article sérieux, ce n'en était pas non plus un à se tordre de rire devant son ordinateur (oui parce que vous y êtes bande de geeks inavoués ! On l'est tous et c'est ça qu'est goude)

Bah voilà, maintenant je me sens bien !

    Et puis, désormais, j'ai la classe, alors même mes insultes sont coules. Comme le "patate" chère à mon cœur. Ce sera donc le mot de la fin : Chan !


Mercredi 30 janvier 2008 à 21:07

    
    Je suis vidé. Les erreurs, les échecs, les remarques et la prise en main sont entrain de me construire comme jamais auparavant. Et c'est tant mieux. Je veux certaines choses et je les aurai, quoi qu'il advienne. C'est une promesse que je me fais et à vous aussi par la même occasion. Pour une fois, celle-là tiendra.

[Sans transition aucune]

    Les articles "drôles", parce qu'il m'arrive d'en rédiger, ne se feront pas attendre éternellement. Enfin c'est ce que l'on dit, de là à croire tout ce qui se raconte dans ma tête, il y a une limite. Limite qui plus est que jamais il ne faudra franchir, sous peine d'être plus que désagréablement surpris(e). Ah la bêtise, voilà bien une des seules caractéristiques universelles, et que j'aime à l'invoquer.


Samedi 26 janvier 2008 à 13:57

[Le recul]


   
   
    Voilà ce qu'il manque cruellement à l'homme. Agir encore et toujours sans prendre compte de sa propre image, de ce que l'on véhicule, mais avant tout de ce que l'on fait ! Sans cesse foncer droit dans ce mur, reculer puis y retourner. Il est triste d'admettre certaines erreurs, certes, or cela le devient bien plus lorsque l'on s'enfonce dans ces actions irraisonnées. La raison, au centre de tout, peut être dépassée par instant, ce n'est pas pour autant que cela doit devenir systématique. Qu'attend l'homme dans sa grande bêtise, si chacun ne prend pas conscience de son inconscience? Il est plus difficile d'arrêter une hémorragie que de la provoquer, malheureusement. Voilà l'ordre des idées, et difficile il est de le changer !



Vendredi 11 janvier 2008 à 0:21


[
Originalité]



    Pourquoi entrer sans cesse par la même porte. Se vendre différent d'être eux-mêmes auto proclamés "différents". Il y a dans cette idée naïve, un paradoxe plus qu'amusant ; À force de démarcation, ne formons nous pas une même ligne, évidemment continue, mais sans relief véritable? Nous nous retrouvons alors sans cesse dans une course à l'innovation pour l'innovation, à la pluralité sans âme. En somme, à l'inégalité. Alors que l'un est tout, le tout ne veut être qu'un. Cet homme est égoïste, prétentieux et malheureusement inutile.


Contexte à venir.

[...]

Contexte : Notre bonne vieille société...


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