Samedi 3 novembre 2007 à 17:52

[Coucou toi !]

    Pourquoi poster? Pourquoi écrire ici?
 Pourquoi accoucher sans cesse ces mots qui n'ont de sens que pour moi et paraissent étranger à la grande majorité de mes petits lecteurs.
   
    Parfois j'ai cette envie de me couper de ce blog, de lui tourner le dos et partir dans une recherche de moi même autre part. Loin de ces mots qui ne sont au fond basés que dans les méandres de mes regrets. Cette envie folle qui me traverse pour mettre à bas mes craintes, mes pensées les plus profondes, mes désirs vains et autres volontés qui tiraillent mon coeur.
    Encore une fois pour le lecteur étranger, tous ceci est si difficile à comprendre, interprêter d'où cette volonté de déménagé par instant pour se libérer, ailleurs. Mais cela ne servirait à rien, j'ai depuis longtemps atteint un point de non retour, ce blog fait parti de moi et même si cela peut prêter à sourire je n'ai aucune envie de le tromper, de vous tromper avec un quelconque pastiche, plus intimiste qui ne ferait que peu avancer le schmilblick. Il a d'ailleurs déjà bien avancé le bougre, la fin ou le début, c'est au choix (encore un) est proche.

    J'ai l'impression d'être dans une période de réflexion intense, mais avec un peu de recul, je me rends compte que je suis infichus de vivre délivré de toutes interrogations, du moins jusqu'à maintenant.
Bonne nuit.

Mardi 30 octobre 2007 à 23:34


    [Herculean est un bon moyen d'accoucher]


   Les temps changent, mes moeurs aussi. Je suis différent de celui que j'étais il y a encore quelques mois, quelques années. Cette bifurcation était nécessaire pour enfin sortir de ce piège que je m'étais moi-même tendu. La morale qui est mienne ne vaut trop souvent que pour ceux et celles qui ne m'intéressent pas. De ce fait, l'adaptation est nécessaire, tout comme les actes et postures qui en découlent. Après tout le mythe du conte de fée n'est pas souvent d'actualité, il n'est que ce que l'on veut voir vrai ; cette réalité purement fictive. Nous nous inventons des codes à respecter , des modèles à suivre pour au final se retrouver au dépourvu de tout ce que l'on a toujours voulu. Le risque est salutaire comme le sont tant d'autres choses. Accoucher ces quelques mots ici-bas m'est plus que difficile car je ne suis et ne serais sans doute jamais un être honnête. Considérez donc ce qui est écrit ici comme un amoncellement de mensonges et vous ne vous en porterez que mieux. Croyez moi, pour une fois. Ou croyez en moi ; Il en va de votre choix.





Vendredi 26 octobre 2007 à 1:50

    [Silence]

    L'homme est de nature profondément égoïste.  Mais j'en parlerai plus tard. Un jour qui sait! D'ailleurs, j'ai le temps. Et vous devriez l'avoir aussi. Sinon vous seriez ce qu'on appelle chez moi : des femmes indignes !

Bonne nuit ! Et bonne lecture à tous ceux qui auront la chance de lire Harry Potter enfin en français. Malgré l'attente, il n'y a selon moi( qui l'ai lu en anglais), aucune raison d'être déçu ou nostalgique. Bien au contraire, la fin est mag(nif)ique, touchante et tellement bien imaginée qu'il n'y a pas de nostalgie à avoir.

    And Snape move no more. NONNNNNNNNNNNNNNNNNNNNN!!!!!

Ah oui aussi, à tous : Karrrrrrôteuh ! Et mangez du gervais duo, ça me réussit.




Et PES 2008 est sorti aussi ! De diou, trop de bonnes nouvelles en même temps, ne font qu'annoncer un superbe Weekend ! (Non je ne suis pas un geek, j'ai aussi des sorties de prévu ^^)

    Pour Loomp, madame je veux pas prendre de photo, je préfère que les gens payent sur internet et passent pour des pervers : Cette article n'est pas moche, il est simplement bourré de clin d'œil par ci par là, à des personnes que j'ai vu ou que je connais ! Et tu as tort de te priver d'une telle fin.

    Et j'adore lorsque ma soeur crie : HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA JE VEUX PAS ECOUTERRRRRRRR. Parce que je veux lui raconter la fin d'harry potter.

Mercredi 17 octobre 2007 à 14:34

Je disais donc  :

 BOULET




Martin : Hey !

Quentin : Quoi?

Martin : N'empêche, l'avait raison de parler de rupture Sarkozy !

Quentin : ?

Martin : Bah ouai, avec Cecilia ^^

Quentin : LOL.
Tu sais ce que je trouve le plus cocasse moi? C'est que par le plus grand des hasard, quelques jours avant les grandes manifestations contres les réformes du gouvernements, on apprenne subitement que les syndicats ont été arrosé de pot de vin (par le Medef qui plus est).

Martin : lol

Quentin :  C'est cocasse non?
Et ce n'est absolument pas pour déstabiliser les organisations syndicales, à la veille de leur grande grève, dans l'opinion publique. Quelle idée...



Lundi 8 octobre 2007 à 0:04

[Je suis con, je sais !]

    En rentrant du foot, puis en attendant que ma mère vienne me chercher cet après-midi, je me suis rendu compte d'un fait pourtant évident. Demain c'est ma rentrée. Ma putain de rentrée. Et subitement tout dans ma tête s'est mis à se bousculer. Mes certitudes se sont effacées, mes craintes ont pris le dessus. Serais-je à ma place? Y arriverais-je? Tout cela me conviendra-t-il? La peur m'a envahi comme rarement, accompagnée du doute. Ce doute qui est exprimé par ces multiples questions posées plus haut.

    La solitude va de nouveau me gagner, mais je ne suis point le seul dans ce cas, le cérémonial de la plainte n'est donc pas de rigueur. J'ai déjà fait face à celle ci, mais ce n'était pas dans ce cadre précis. Tout le monde est éparpillé à droite et à gauche, chacun livré plus ou moins à lui-même selon ses connaissances et leurs parcours. Je suis seul dans une section que je n'ai choisi qu'en dernier recours. Il est donc à moi d'en assumer les conséquences puisque je suis l'unique responsable. Je déteste être seul au milieu de ces badauds.

    La semaine dernière j'ai dû suivre un cours d'initiation au grec. En plus de me tromper d'horaire et d'arriver deux heures après l'échéance prévu, j'ai du trouver une place. Trouver ma place parmi ces chaises vides. Se retrouver face à ce prof seul et, involontairement, à une extrémité de la classe; bien en vu. Cela fait un choc. Car le lycée a pris fin brusquement et à cet instant précis. Finie la quiétude rassurante de notre petite classe, des discussions (in)utiles entre amis, des bavardages incessants réprimandés par un fou rire et un piètre : "Excusez-moi". Mais surtout c'est la fin de l'assistanat. Et dieu sait qu'il me faut des pieds au cul pour me faire avancer.

    C'est donc la rentrée, peut être est-ce juste LE moment difficile à passer. Laissons donc ma non-sociabilité faire le reste; et nous verrons le résultat d'ici la fin de l'année. Je l'espère positif, mais ai du mal à y croire. Mon pessimisme invétéré sans doute.

Ps : J'ai mis de nouvelles musiques et actualisées celles qui ne marchaient plus.
Ps 2 : Je me suis remis aux "Mémoires d'outre-tombe". Je me devais de réparer l'abandon bien trop précoce de la première tentative.


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